Après la fin de sa carrière politique, en 2005, il reprend ses activités professionnelles, mais à Berlin, et est engagé par la société russe Gazprom pour présider le conseil de surveillance de North-European Gas Pipeline, consortium germano-russe chargé de la construction et de l'exploitation du gazoduc Nord Stream. Le conseil l'élit à ce poste à l'unanimité le 30 mars 2006. Cette décision fait l'objet de critiques dans la mesure où Schröder, en sa qualité de chancelier, a approuvé le tracé du gazoduc et s'est porté garant d'un prêt bancaire d'un milliard d'euros proposé par Deutsche Bank et KfW à Gazprom dans le cadre de cette affaire. Il a été conseiller de Goldman Sachs, puis de la banque Rothschild, et a également rejoint le groupe de presse suisse Ringier comme consultant.
Depuis janvier 2009, Gerhard Schröder est membre du directoire du groupe pétrolier russo-britannique TNK-BP, fonction pour laquelle il touche une rémunération de 200 000 euros par an.
Depuis janvier 2009, Gerhard Schröder est membre du directoire du groupe pétrolier russo-britannique TNK-BP, fonction pour laquelle il touche une rémunération de 200 000 euros par an.
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