Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

nationalisme - Page 2

  • Des droits régaliens en général et du droit de se défendre en particulier

    Des droits régaliens en général et du droit de se défendre en particulier

     

    Rome ne s’est pas faite en un jour. De la même manière, la nation française a achevé d’être une structure cohérente grâce à la mise en place des droits régaliens qui lui ont permis de se protéger et de devenir puis de rester un grand pays reconnu et respecté dans le monde entier.

     L’Etat reste souverain, c’est-à-dire maître chez lui, grâce à ses missions régaliennes:

     - devoir et pouvoir de faire la loi (pouvoir législatif)

     - faire respecter l’ordre (ministère de l’intérieur)

     - réprimer les écarts , rendre la justice (pouvoir judiciaire)

     - droit de battre monnaie, droit de prélever l’impôt (pouvoir monétaire)

     - droit de créer des offices (administration)

     - protéger la population (défense)

    Nous voyons bien l’état de délitement de notre souveraineté, à coup de Traités, les peuples n’ont cessé de se voir confisquer leurs droits légitimes. Notre parlement est devenu une caisse d’enregistrement d’une politique mondialiste dont Bruxelles n’est qu’une courroie de transmission.

     Le ministère de l’intérieur ne confirme son impuissance que par une politique de plus en plus totalitaire.

     La justice, sans moyens et gangrenée par les idéologies ayant renversées les valeurs du droit des victimes à se voir rendre justice.

     Notre monnaie a disparu, nous ne sommes donc plus maître de notre budget et de nos choix.

     Les services publiques n’obéissent plus qu’à une logique libérale.

     Même si évidemment, on doit lutter contre tous les gaspillages des deniers publiques souvent chèrement gagnés par nos compatriotes, la gestion purement comptable de l’intérêt général n’a aucun sens.

     Enfin, l’abandon de notre armée par son démantèlement progressif est un crime des plus odieux.

     Après avoir bradé notre travail par la mondialisation, notre dignité par le sabordage des valeurs morales, notre tradition livrée à l’esprit marchand anglo-saxon, tous les pans de notre souveraineté un à un, maintenant qu’on a presque réussi à nous réduire en esclavage, nous serions prêts à servir de chair à canons pour défendre les intérêts de va-t’en guerre pour le seul bénéfice de puissances financières et impérialistes dont le seul but semble être la main mise sur les ressources énergétiques ( gaz, pétrole) pour asseoir leur domination sur un monde qu’ils n’ont cessé de détricoter par le bas et par le haut.

    Concrètement, la Bretagne, à Brest (?) et à Nantes perd ses effectifs militaires, on restructure la souveraineté nationale en tout mauvais sens libéral, les hommes, la maîtrise légitime de leur propre destin de peuple souverain , ne fait pas partie des paramètres du marché, nous ne devenons qu’une variable d’ajustement de l’OTAN. C’était sans compter sur l’esprit de résistance des vrais hommes, gardiens de leurs libertés et de leurs cultures, héritage reçu et parfois conquis au prix du sang versé par nos pères et que nous avons le devoir de transmettre à nos fils. De ses hommes là, le marché n’aura jamais raison, ils ne sont tout simplement pas monnayables.

    Oriane Borja

     


    Créé par Oriane le 01/07/2008 à 20h31

    10 derniers articles de orianeborja

  • Ecole, état des lieux

    Ecole, état des lieux

    Chers parents,

    Le présent texte a pour but d’apporter un éclairage sur la politique éducative de notre pays , une analyse jamais menée par les associations de parents d’élèves.

     En France, le ministre de l’Education Nationale n’a jamais eu aucun pouvoir depuis que le général de Gaulle a laissé ce bastion à une certaine gauche après la guerre dans un souci de réconciliation nationale. Il faut bien comprendre que depuis lors, le ministre n’a aucune latitude et quelles que soient ses idées politiques, elles n’ont aucune prise sauf à être en phase avec celles de ceux qui noyautent le système. L’aveu même en a été fait par les ministres qui se sont succédés à ce poste. A ce sujet, les enquêtes du journaliste d’investigations Jean Montaldo dans La Maffia des Syndicats, n’ont jamais été démenties.

    Darcos ne dérogera pas à la règle car le président de la république n’a aucune intention de s’attaquer aux problèmes. Comme dans tous les domaines, il lance des leurres destinés à exciter la gauche et à faire croire à son électorat qu’il agit, de plus cela donne aux syndicats des raisons de brasser de l’air, cela convient donc à tout le monde. Tout le monde… sauf à une poignée d’iréductibles qui vient mettre son grain de sable dans une machine bien rôdée. Nous vivons dans un système ultralibéral aujourd’hui poussé à son paroxysme et l’Education n’a pas échappé à son emprise.

    Pilotée par des organismes internationaux comme l’OMC, l’OCDE, le FMI ou l’UNESCO, ayant des relais à Bruxelles ( citons l’exemple du rapport Thélot qu’on disait remonté de la base alors qu'il n’était que la retranscription d’une directive européenne qui le précédait), la politique éducative mondiale a des objectifs d’uniformisation des politiques éducatives aujourd’hui largement mise en place dans les pays occidentaux, le désormais incontournable rapport PISA en est le baromètre, le classement n’indiquant que la place des borgnes au milieu des aveugles.

     En effet, l’objectif est de livrer une main d’œuvre servile et opérationnelle au système capitaliste en place. En aucun cas, il n’est de donner un niveau d’instruction, de savoir et de culture aux enfants. C’est là que les organisations syndicales (plus aptes à défendre leurs propres intérêts que les personnes qu’elles sont sensées défendre),et ayant parfois elles-mêmes des relais internationaux, entrent en action, et jouent les idiots utiles du système.

     Tout ce petit monde n’ayant d’ailleurs que très peu avoir avec la démocratie, car les peuples sont pour chacun d’eux des obstacles qu’ils méprisent allègrement. Pourtant, que vaut la démocratie, qui rappelons le, signifie « gouvernement par et pour le peuple », lorsque celui-ci est sciemment maintenu dans l’ignorance.

    Rappelons que, notre héritage culturel est le fruit de plusieurs milliers d’années d’Histoire, un héritage transmis de générations en générations, ayant connu des apogées et des phases de recul mais a réussi à se transmettre. En aucun cas, cela ne sort de nulle part et un seul homme fût-il le plus grand des génies, ne peut donner à lui seul qu’une infime partie que ce que l’ensemble des autres peut lui apporter.

     Le temps, dans sa sagesse, nous a permis de structurer notre langage par la grammaire, permettant ainsi la réflexion ( Histoire de la Grèce Antique). Le bon sens veut que nous maîtrisions les bases du langage et du calcul pour accéder à l’esprit critique, celui-ci ne naît pas par l’opération du saint esprit, hélas. Ceci est valable pour les plus doués d’entre nous comme, et davantage encore, pour les moins aptes à l’étude.

     Ce rôle, l’école d’aujourd’hui ne le tient plus. C’est le fait des nouvelles pédagogies mises en place depuis une trentaine d’années par des apprentis sorciers. Se délectant dans l’accessoire au mépris du fondamental, glissant de plus en plus dans le modèle de la Libre Ecole de Summerhill, si justement critiquée en son temps, où l’enfant doit construire son propre savoir, où l’on croit que la liberté mène à l’autonomie alors qu’il n’y a pas de liberté possible sans un minimum de contraintes. L’école à deux vitesses existe, c’est celle d’aujourd’hui .

    Pour information, SOS EDUCATION alimentée par des fonds privés et sous l’égide d’un ancien patron du MEDEF, met en place des écoles privées pour des parents informés, et, fortunés, qui ont bien compris les failles de l’école de la République, aujourd’hui réservée à la plèbe qui leur servira de main d’œuvre. Elle tient ses réunions… à l’Assemblée Nationale. Les universitaires qui voient arriver les élèves à un niveau catastrophique et qui le dénoncent subissent des pressions. Que ce soit dans le domaine scientifique comme littéraire, notre nation n’est plus en mesure de renouveler ses élites, en particulier celles issues des classes populaires qui étaient la fierté de l’école républicaine. Une résistance s’est mise en place, j’invite chacun à s’informer, et, à faire travailler ses enfants ! Oriane Borja http://www.refondation-ecole.net/ http://www.sauv.net/

     

     


    Créé par Oriane le 08/06/2008 à 11h42

    leocep

    22/12/2008 - 15:17

    refondation-ecole.info

    Pour information la nouvelle adresse du site pour la refondation de l'école est celle-ci:
    http://www.refondation-ecole.info

    orianeborja (non membre)

    23/12/2008 - 10:46

    En réponse à : leocep - 22/12/2008 - 15:17

    refondation de l'école

    J'adhère totalement à ce que proposent ces associations,
    hélas, ces dirigeants ont souhaité m'exclure alors que j'étais adhérente depuis leurs créations, que je les défends corps et âme dans les réunions scolaires, seule contre tous, et que je relaie tous azimuts leurs information.
    Ils m'ont exclu pour "faute grave", ma faute grave consiste à être membre du Front National .
    Voici les preuves :
    http://www.nationspresse.info/?p=21041