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Il est vrai que comme les Kennedy, les Le Pen ont ce côté maffieux, et sans doute le "détail" a-t-il été ce compte qu'il devait à la maffia et à la CIA qui le leur ont fait payer.
La famille Kennedy comme la famille Le Pen est entourée de morts et d'attentats et où les tours sont joués par les mêmes qui en ont croqué au préalable.
Quant au terme de "patriote", il sonne aussi chez les Le Pen très américain, très copié-collé.
Or l'acception états-unienne du "right or wrong my country" n'est pas la conception française qui défend de véritables valeurs morales à l'inverse du vernis de gala paillettes à l'américaine où la morale se porte aussi basse qu'elle est en bandoulière.
Une gamine liseuse de notes et perroquet de l'extrême-droite la plus caricaturale pour présider une région, on comprend pourquoi JMLP s'en sert pour proroger sa gloriole et partir moins humilié, mais est-ce bien sérieux ?
Elle n'a que pour elle l’esbroufe d'un Le Pen, la force des canards, que de la gueule, que du plumage.
La population a besoin de personnes responsables, pas de marionnettes agitées par l'extrême-droite qui a de tout autres idées en tête.
Sans l'extrême-droite, MMLP n'est plus rien, plus d'idées, plus de parole, plus de sang, elle contribue à ne jamais sortir les tenants de la France de la boue qui fait vomir chacun sauf cette fange.
97 % des français disent Non à Le Pen quand la majorité disent Oui à la France, à son unité, à sa protection, à sa civilisation.
Serions-nous les deniers à le comprendre !
Le Front sera-t-il condamné à toujours être le royaume des aveugles où les borgnes sont rois naturellement ?
Sarko gros démago veut obliger les plus démunis à l'être encore davantage.
Ces parvenus jaloux des pauvres, ça laisse songeur, mais surtout cela pose problème :
- cela corrompt juridiquement le droit du travail, une seule entorse est tout est dépeuplé, c'est la technique du pied dans la porte
- les personnes au RSA sont, soit incapables de travailler (pour des raisons, médicales, psychologiques), soit elles ne trouvent pas de travail parce qu'il n'y en a pas et cela est voulu par le système.
Il s'agirait donc d'une double peine.
Elles travaillent déjà bénévolement pour beaucoup, à garder des enfants et même ceux des autres souvent
- Travailler engendre des frais dont le Rsaiste ne peut s'offrir le luxe
- la personne au RSA consacre déjà son temps à trouver du travail, voire à travailler dans le cadre du RSA activité; les personnes qui passent du RSI au RSA apprécieront
- la mise en place et le contrôle de ce dispositif aurait un coût, il faudrait créer des postes de fonctionnaires déjà pressés comme des citrons dans le domaine social, est-ce le souhait de Sarkozy.
Sarko, qu'il s'impose 7 heures de réflexion par semaine, aux premières suées, il nous fait signe.
Il était une fois trois candidats :
- un premier qui a la bonhomie d'un Hollande, la sécheresse d'un Valls, le cynisme d'un Macron, et la queue de Mélenchon.
Il va vers le mur libéral à grand pas
- un deuxième qui a la tête à claque de Sarkozy, la rondeur d'un Juppé, la MST d'un Bayrou (d'après Sarkozy) et la cirrhose d'un Borloo.
Il y va encore plus rapidement, sauf empressement du premier.
- un troisième qui a le sourire carnassier d'une Marine Le Pen, l'ombre d'un Jean-Marie Le Pen et la dérive du Club de l'Horloge tenue par Marion Maréchal Le Pen.
Il nous mènera directement en plein dedans avec l'aide de ceux qui veulent ce chaos qui-ramènera-le-meilleur-ordre libéral.
On a vraiment, l'embarras, du choix ...
