Le pathétique Jean Robin, qui tente de survivre de ses activités de lobbyiste libertarien, vient de commettre une vidéo sur les "agents iraniens" Soral et Dieudonné.
Je crois surtout que Dieudo et Alain sont prêts à tout pour prendre du fric n'importe où -comme Jean Robin, ils fricotent d'ailleurs tous les trois de la même manière avec le fric libertarien des lobbies américains- belle bande de fripouilles que ces gens-là.
En tout cas, en Iran, Dieudonné s'adonne à un grand numéro de mauvais comédien, sur ce coup-là.Faut que tu travailles le truc vieux, t'es pas aussi à l'aise que sur scène.
Remarquons qu'en la matière, on ne sait jamais comment on sort de ce genre d'entreprise.
A brosser des régimes comme l'Iran, la Syrie, la Lybie, la Russie, et autres Cuba, on ne sait jamais si la visite va se finir au violon, voire, entre deux planches.
C'est Sine qui racontait comment un discours à Cuba qui n'était pas vraiment dans le ton attendu, l'avait conduit tout droit au trou castriste quand il était censé être un ami de Cuba.
J'ai entendu un jour, Jean Robin, alors invité de Soral, nous raconter comment Poutine mettait au frais ses ennemis en les accusant d'homosexualité; c'est sûr, ça a fait bien rire l'assistance, mais disons que leurs "modèles, on leur laisse.
Sur les entretiens iraniens de Dieudonné, il prend tellement les gens pour des cons que ça devient comique, mais y était-il en tant que homme d'affaires sérieux ou comme humoriste ?
Il n'avait pas l'air de faire le guignol lors de ces grandes explications sur les bienfaits de l'islam devant la télé iranienne -lui qui se fout de Dieu comme du tiers- même si le résultat est hilarant.
Dieudo, j'espère que tu ne crois pas que l'indigène iranien n'a pas d'âme pour oser les prendre ainsi pour de tels imbéciles juste pour ramasser du pognon.
On me fera remarquer que les iraniens pensaient peut-être humilier l'occident en balançant quelques billets quand ils voient l'un d'entre eux se coucher aussi bas pour obtenir un peu de sous.
Cela montre beaucoup des personnages, qui sont au fond, de tristes sires dont la principale caractéristique est de se moquer en tout premier chef, des gens qui les entourent.
Ils déterminent le niveau de respect dans lequel ils tiennent les choses politiques, les affaires de la Cité. Et comme ils ne sont pas capables, pas à la hauteur de la tâche, ils préfèrent la discréditer.
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