A l'annonce du prochain Colloque du SIEL l'Assemblée nationale, nous proposons Paul-Marie Coûteaux aux Prix de la Carpette anglaise et du Paillasson américain réunis.
Qu'y a-t-il de plus avilissant encore pour un Français que de se soumettre à la langue anglo saxonne
que de plier à sa façon de penser et d'agir.
C'est ce calvaire que réussit à nous faire endurer celui qui se présente comme défenseur de la langue mais encore de la France, pardonnez du peu.
Celui qui prétendait penser que l'ennemi n'était pas l'islamisation mais l'américanisation, accomplit le tour de force de s'entourer tant de Christine Tasin et de Pierre Cassen (International Freedom Alliance
http://ripostelaique.com/tag/geert-wilders/
http://www.libertiesalliance.org/2010/07/16/geert-wilders-international-freedom-alliance/
), que de la clique la plus libertarienne et la plus inféodée aux Etats-Unis que compte la classe politique :
- Le Contribuable associé Alain Dumait dont le projet est on ne peut plus clair :
http://www.laboursetocqueville.fr/le-projet.html
"Le projet |
Initiée et financée par Contribuables Associés, la Bourse Tocqueville a pour objectif de permettre à des étudiants ou jeunes actifs portant un intérêt tout particulier aux idées de liberté d’approfondir leur connaissance des grandes doctrines politiques, d’acquérir la maîtrise des techniques d’action politique les plus modernes et d’établir des contacts avec des acteurs de la société civile française et de la vie politique américaine.
Immergés au cœur du pouvoir politique américain pour une durée d’un mois, les six lauréats de la Bourse Tocqueville assistent aux séminaires et participent aux formations des instituts les plus prestigieux. Ils découvrent les centres de pouvoir et vont à la rencontre des décideurs américains (élus, journalistes, universitaires, experts…).
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- Le libertarien revendiqué Philippe Herlin qui se veut rien moins que le nouveau Reagan français (SIC) :
http://www.atlantico.fr/decryptage/presidence-ump-philippe-herlin-petit-candidat-ronald-reagan-francais-426317.html
Quelles sont vos principales propositions ?
Mon positionnement idéologique, libéral conservateur, me différencie clairement des autres candidats.
Par ailleurs, pour moi, la questions des alliances avec le FN n'est pas taboue. Je suis opposé à tout accord de gouvernement, car nous avons des différences programmatique trop importantes, notamment sur le plan économique. En revanche, je suis très clairement favorable à des accords au niveau local. La direction nationale ne doit pas imposer sa loi aux élus locaux.
Au-delà des questions économiques, les valeurs de l'UMP sont-elles compatibles avec le Front national ?
Le FN est favorable au retour au Franc tandis que nous y sommes opposés. Au niveau local, les problèmes sont beaucoup plus concrets et il est possible de trouver de vrais points d'accord.
L'argument des valeurs morales est un argument qui pouvait être pertinent sous Jean-Marie Le Pen, mais pas sous Marine Le Pen. Si l'UMP continue de reprendre le discours de la gauche sur cette question, la droite est sûre d'aller tout droit à l'échec. Si nous sommes divisés sur ce sujet, le FN continuera de progresser et la gauche restera au pouvoir pendant les vingts prochaines années. La droite ne doit pas être coupée en deux. Les électeurs du FN doivent pouvoir se reporter sur les candidats de l'UMP au second tour.
Vous reprenez à votre compte le slogan de Ronald Reagan : « L’Etat n’est pas la solution, c’est le problème » et vous dénoncez la culture étatiste qui règne à l'UMP. Pourtant avec la crise, l'économie semble déjà prendre le pas sur le pouvoir politique...
Le terme "libéralisme" a été dévoyé. Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon accusent Nicolas Sarkozy d' "ultra-libéralisme". Si Nicolas Sarkozy était "ultra-libéral", ce serait formidable ! Mais ce n'est pas le cas. Il y a une culture française d'étatisme.
Tout le discours sur la crise financière qui consiste à accuser le libéralisme et la finance est une imposture. La crise s'explique par l'intervention de l’État, notamment l'intervention des banques centrales qui contrôlent les taux d'intérêt et font marcher la planche à billet. C'est aussi la volonté politique de favoriser la propriété privée qui a provoqué la bulle de crédit dans l'immobilier et la crise des subprimes.
- L'apprenti de l'Heritage Foundation (le plus puissant réseau d'influence mondialiste pour l'american leadership, au service de l'oligarchie industrialo financière) et Prix Razel de l'Institut de formation politque, Eric Martin :
http://www.ndf.fr/nos-breves/15-06-2012/eric-martin-recoit-le-prix-razel-de-la-toile-2012-linstitut-de-formation-politique-en-plein-developpement
http://www.laboursetocqueville.fr/
"Les Américains ne sont arrivés que d'hier sur le sol qu'ils habitent, et ils y ont déjà bouleversé A. Tocqueville - De la démocratie en Amérique
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