La France est une puissance intellectuelle, et le Nouvel ordre éducatif mondial en uniformisant le modèle américain, se charge de détruire notre façon de transmettre qui nous avait donné cette avance, Ce sont des intellectuels comme Edgar Morin, Stéphane Hessel, George Charpak et bien d'autres qui l'instaurent, au service des USA, et avec les politiques Delors, libérales, et souverainistes (Bournazel, Président du RIF).
http://www.conscience-vraie.info/edgar-morin-comite-mondial-formation.htm
Intervention d'Edgar Morin au Comité mondial pour la formation tout au long de la viewww.conscience-vraie.info
Vidéo et synthèse : Edgar Morin au Comité mondial pour la formation tout au long de la vie
http://www.wcfel.org/frenchbis/index_.php?page=textes_fondamentaux
CMA - Lifelong Learning - Comité mondial pour les apprentissages tout au long de la vie - LifeLong Lwww.wcfel.org
De Confucius à nos jours : résolutions, rapports, études, déclarations, appels, ...Afficher la suite
http://ec.europa.eu/languages/documents/doc409_fr.pdf
http://www.espacestemps.net/articles/lrsquoeducation-tout-au-long-de-la-vie/
L’éducation tout au long de la vie.www.espacestemps.net
En phase avec les évolutions liées à l'explosion des Techniques de l'information...Afficher la suite
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Bournazel
L'origine du souverainisme la paneurope :
http://archives.polemia.com/article.php?id=398
Les termes "Nouvel ordre éducatif mondial" ne sont pas tirés de je ne sais quelle invention conspirationniste, ce sont les termes propres du World Committee For Lifelong Learning.
http://www.educavox.fr/formation/debats-50/Apprendre-tout-au-long-de-la-vie
Apprendre tout au long de la vie, la révolution éducative - Educavox
www.educavox.fr
Par Yves ATTOU - yves.attou@yahoo.fr Président du Comité mondial pour l'éducation et la formation tout au long de la vie. La nécessité (...)
Le très mondialiste président du Lifelong Learning World Committee a écrit à NPI :
Commentaire par Attou Yves le 28 février 2011 @ 11:07 | Editer
Yves ATTOU à Oriane BORJA,
Suite à votre article posté le 28 février 2011, je vous demande de m’accorder un droit de réponse comme suit :
DROIT DE REPONSE DE YVES ATTOU
Je n’ai jamais jubilé concernant l’évolution transnationale de l’éducation et de la formation. Au contraire, comme le prouve l’extrait, ci-dessous, de mon éditorial actuellement en ligne sur wcfel.org :
« La nouvelle architecture des apprentissages tout au long de la vie reconfigure les systèmes
traditionnels d’éducation initiale et de formation continue des adultes. Elle est locale et transnationale
et se construit en dehors de toute régulation. Elle est porteuse de valeurs très éloignées de celles de
l’école républicaine française, gratuite, laïque et obligatoire. Aussi, le défi à relever est de ne pas subir
la révolution éducative en cours mais d’en être les acteurs. C’est un immense chantier pour les
prochaines décennies. D’autant que la « planète apprenante » compte encore 70 millions d’enfants non
scolarisés ».
Commentaire par Oriane Borja le 1er mars 2011 @ 23:21 | Editer
@ Monsieur Yves Attou :
Pour notre part, nous ne souhaitons pas du tout d’éducation mondialiste pour nos enfants.
Nous ne souhaitons pas plus subir le nouvel ordre éducatif mondial qu’en devenir « acteurs », nous souhaitons le combattre.
Nous ne croyons pas à la fatalité ni en la matière ni de façon générale, nous croyons en le politique et en l’homme.
De même, nous ne sommes pas des tenants des pseudo « sciences de l’éducation » dont les idéologues vous accompagnent dans votre projet.
Nous souhaitons à l’opposé, revenir à notre instruction nationale, que ces néopédagogues méprisent et dont ils ont fait table rase, nous pensons que chaque pays a sa propre méthode, issue du long et précieux ciselage du temps, façonnant les peuples.
Nous ne saurions ainsi nous calquer sur d’autres méthodes que les nôtres et ne souhaitons pas une uniformisation mondiale de l’éducation dont il ne resterait que quelques touches folkloriques.
On peut apprendre à connaître l’autre évidemment, c’est certainement une richesse, mais on ne mélange pas tout, les choses ont un sens.
Nous préférons globalement que l’éducation reste le fait des familles et que l’instruction soit partout accessible de la même manière au niveau national, imposée et donc garantie par la force de l’Etat-nation.
Par instruction, nous entendons la transmission stricte des savoirs.
Nous n’entendons pas verser dans le ludique et l’animation pour revenir aux méthodes rigoureuses que nous avaient laissées nos pères, et qui avaient fait leurs preuves, forgeant l’esprit français, osons dire, le génie français.
Nous pensons sans doute que l’éducation n’est pas vraiment « tout au long de la vie » au sens où vous l’entendez, que tout ne se vaut pas, que tout n’est pas éducation ou instruction.
Si l’idée de l’étude et de la connaissance qu’elles soient purement intellectuelles, professionnelles, artisanales ou artistiques nous enchante, les formations du type méthode « assimil’ » et autres méthodes d’éducation globale et superficielle, ne nous conviennent pas.
Il y a un temps pour l’éducation, qui se fait par les parents, et essentiellement dans les toutes premières années de la vie; un temps pour les apprentissages fondamentaux (savoir lire, écrire, compter, calculer), dont il vaut mieux ne pas rater l’acquisition sous peine de voir tout le reste s’écrouler; un temps pour les approfondissements qui, en fonction des résultats des personnes, les orientent vers de plus ou moins longues études, ou vers l’apprentissage d’un métier.
Un vrai métier, pas un « job » qui irait de missions en reconversions incessantes.
Même si bien sûr, nous n’entendons pas scléroser les individus dans un avenir qu’il ne souhaiterait pas, laissant des passerelles, nous ne souhaitons pas institutionnaliser la « flexibilité » et l’insécurité permanente théorisée et prôné par l’hyperclasse.
Mais il faut bien comprendre que nous raisonnons dans une optique de relocalisation des emplois chez nous, rien chez nous ne s’inscrit dans la vision de l’homme nomade planétaire interchangeable, ni dans celle du partage du monde en parts de marché, notre idée de l’homme est celle d’un être enraciné vivant dans une société à visage humain telle que l’est pour nous la nation, où, pour rester maîtres de notre destin, nous aurions recouvert l’ensemble de notre souveraineté et donc de notre indépendance.
L'article où je mettais en cause le président du World Committee :
Cantonales en Loire Atlantique : argumentaire de campagne du Front Nationalwww.nationspresse.info
Michel Grosvalet, candidat à la présidence du Conseil Général de Loire-
La vidéo sur laquelle je me basais pour l'incriminer, à 5'44 :
http://www.youtube.com/watch?v=6DIs-EFME_c
Yves Attou comité mondial de l'éducation et de la formation
Yves Attou, Président du Comité mondial pour l'éducation et la formation tout au...Afficher la suite