Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Religion et mondialisme - Page 11

  • Bastié Bastiat Basta !



    Evidemment, il ne sera mentionné nulle part que c'est un produit de l'Oeuvre.

    L'Opus Dei balance des pions partout, la place chez Ruquiez est évidemment convoitée.

    N'en déplaise au Point, la demoiselle est libérale pure jus, libertarienne cons, pour une société où sa secte ne se mélange pas aux autres et où le libéralisme économique ravage tout.

    Encore une jumelle de MMLP, Rael n'avait pas tort, ils savent les cloner.


    Eugénie Bastié : "Jamais les filles n'ont autant été traitées de putes et de salopes... »
    Nouvelle figure du conservatisme tendance catholique, la journaliste s'en prend, dans un livre polémique, aux contradictions du "néoféminisme". Entretien.
    LEPOINT.FR|PAR THOMAS MAHLER

  • L'extrême-droite pour les Nuls

    Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.

    Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.

    Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.

    Marine soigne sa droite via sa niaise, une nièce qui racole sur les terres extrémistes avec ses gros sabots, mais les sillons sont tracés droits, la petite fait bien le boulot.

    Les pieds dans le purin de l'AF ne fera pas tache dans son parcours, cela n'a étonné que les commentateurs politiques qui ne semblent toujours pas avoir compris quel jouet Marion Maréchal Le Pen est entre les mains des lobbies les plus influents du système.


    L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré

    Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.

    Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.

    Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.

    Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.

    Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.

    Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.

    L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.

    La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.

    Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.
    Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.


    La terre des pères fondateurs des Etats-Unis ou l'âme des patriotes à côté de la plaque

    On trouvera difficilement plus atteint de libéralisme aigu que la « droite royaliste et traditionaliste », les deux termes étant totalement usurpés puisqu’il s’agit souvent d’une aristocratie issue de l’ancienne noblesse qui combattait les pouvoirs du Roi pour asseoir le leur, quant au traditionalisme, on fait là aussi difficilement plus anti catholique que ces gens-là dont le prochain n’est qu’un de leur caste, la France éternelle est pour eux celle qui défendrait leurs privilèges et caste.



    D'ailleurs, Les chouanneries furent en réalité l'utilisation de l'ignorance des paysans par la noblesse et le clergé locaux à des fins de conservation de privilèges, de refus d'intégration nationale et de velléités décentralisatrices anti esprit français.



    C'est un de nos principes fondateurs, l'Etat intervient dans l'économie depuis toujours, c'est un des éléments constitutifs de la France.
    Avant, l'Etat et le Roi se confondaient, aujourd'hui, c'est l'Etat et le peuple.

    C'est le seul moyen de brider les intérêts particuliers et de faire valoir l'intérêt général dont l'Etat est garant.

    Et c'est tous ce que les prétendus royalistes mettent en cause, mais comme ils n'ont jamais rien compris de la France, ils ne s'en rendent même pas compte et vont défendre une position anti nationale dans pratiquement tous les domaines.

    Les Jacqueries, à l'origine des Chouanneries, sont parties de ces volontés de remettre en cause le pouvoir royal.

    Ils étaient contre l'impôt royal qui était naturellement destiné aux prérogatives de l'Etat unitaire.

    Ce sont des Tea Parties dans l'âme.

    Il faut bien comprendre pourquoi les libéraux trad actuels font corps avec les lobbies libertariens de Washington aujourd'hui, ils ont une vision opposée à celle de la France, ce sont des Anglo Américains dans l'âme, soit nos pires ennemis en tant que Nation libre française.

    La Fayette est un de leur porte drapeau, La Fayette l’Américain qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir importer l’idéologie issue des Mayflowers en France, la patrie de ces gens-là est un no man’s land.

    On les entend déjà, "La Fayette, ce franc-mac, jamais !", il n'empêche que cela reste une référence dans les réseaux, tout comme Tocqueville, les lobbies libertariens auxquels l'AF est rattaché n'en font pas mystère.

    Et puis Aymeric Chauprade, et Mathieu Decosse Maréchal le Pen, leur franc-maçonnerie ne les dérange pas vraiment ...
    Et puis quoi, dénommer sa fille Olympe, d'accord, c'est un truc pour les dieux, mais on se demande si c'est franchement catholique.


    Il en est qui lutte contre le libéralisme, mais vraiment tout contre, Alain de Benoist mène aussi ce jeu trouble.


    Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants

    A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.

    Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.

    D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.
    Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.

    Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.

    Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.

    Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.

    On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.
    Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.

    Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?

    Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.
    Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.

    Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.


    La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris

    Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.

    Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.

    Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.

    Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.
    A défaut d'être respectable et avouable ...


    Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés

    Le communautarisme est un libéralisme.

    Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.

    Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.

    L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.
    Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.

    La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.
    Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).

    Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.

    L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.

    A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.
    Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.


    A ce propos, les IFRAPiens ont encore frappé

    La tête-à-claque porte-parole de l'IFRAP est effrayée par les aides sociales réservées à la jeunesse qu'elle préfère aux abois pour servir de proie à ses commanditaires.

    Cela les "désincit(erait)" à travailler, selon elle.

    Elle qui n'a jamais naturellement cherché de travail de sa vie, n'est pas à une ineptie réac près.

    La jeunesse ne demande que ça, du travail, c'est seulement que le libéralisme total prôné par la secte dans laquelle la demoiselle est embullée, mène irrépressiblement aux minima d'emplois et à leur précarité, salaires de misère que la jeunesse a raison de refuser, un minimum de dignité oblige.

    Il faudrait que ce genre de bourgeoises filles à papa arrête de faire semblant de penser pour ceux qui vivent dans le réel, ça fait parasite à éliminer ...


    Et pourtant, les vers sont dans le fruits, les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle sont sur les rangs.

    Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions.

  • La république est plus royaliste que l'Action Française et dérivés anti-France

    S'il faut bien comprendre une chose de l'extrême-droite, c'est sa volonté de s'en prendre à l'Etat.

    C'est le point commun, le point de ralliement, de Maréchal Le Pen à Macron, en passant par Rama Yade, Bruno Le Maire, La Manif Pour Tous, Nuit Debout, Pierre Rabhi, Soral et tant d'autres, l'idée est de déstabiliser l'Etat.

    Et vous trouverez toujours le soutien des réseaux libertariens issus des grands think tanks de Washington, autour de ces entités qui servent de tremplins pour atteindre l'Etat.

    L'AF n'est pas plus royalistes que MMLP, nos Rois ont toujours eu à lutter contre les velléités décentralisatrices des baronnies locales qui voulaient s'accaparer une partie du pouvoir royal.

    Petites maffias voulant s'approprier des pans de souveraineté en sabrant dans l'unité nationale qui fait la France.



    "Marion Maréchal-Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on...
    Marion Le Pen se dit d'une "génération saoulée par les valeurs de la République qu'on nous serre en permanence".
    LELAB.EUROPE1.FR"

  • Et les révélations de l'année sont ...

    VA, le propagandier de service qui t'aide à révéler le facho qui sommeille en toi ...
    Anti-démocrate, anti-républicain, anti-Etat, VA est fait pour toi.
    :

    Choix numéro 1, Valeurs Actuelles de l'extrême-droite :


    "Chiva Christian
    46 min ·
    Le sondage caché et révélé par Valeurs actuelles .....

    Enfin, un sondage qui n'est pas truqué !
    Sondage caché stupéfiant dans (Valeurs Actuelles n° 4026, page 19) Aïe, aïe, aïe... infos qui font mal !!!
    C'est un véritable bouleversement d'opinion chez les Français.
    On comprend pourquoi le gouvernement et la Presse musellent cette information.
    Sondage "caché", une véritable bombe !
    La publication des résultats de l'enquête annuelle publiée chaque année dans le Monde, menée par l'institut Opinionway et le Centre
    de Recherche Politique de Sciences Po, intitulé "Baromètre de la confiance politique".

    C'est la 5e édition mais, pour la première fois cette année, le 13 janvier, la presse n'en a dévoilé que 41 pages sur 84.
    Cela a mis la puce à l'oreille de Valeurs actuelles qui s'est demandé ce qu'on voulait nous cacher, et s'est procuré les résultats de l'enquête, qu'elle publie dans son n° 4026.

    Les résultats sont stupéfiants, c'est un séisme politique.

    En voici le résumé fidèle :

    1. 75% des Français ne font plus confiance à l'État, ni à la république.

    2. 88% rejettent catégoriquement les partis politiques.

    3. 87% jugent que Hollande n'a pas l'étoffe d'un président, ça c'est moins étonnant.

    4. 61% sont prêts à manifester, alors qu'ils n'étaient que 30% en 2010

    5. 71% ne font pas confiance aux syndicats.

    Mais la stupeur :

    1. 50% ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays un homme fort (ou une femme) qui n'a pas à se préoccuper du parlement ni des élections.
    Traduction en clair : un roi ou un dictateur, ou du moins un pouvoir personnel fort ?
    2 . 12% souhaitent même que l'armée dirige le pays !

    C'est du jamais vu depuis 200 ans et ça montre la crise où ces gouvernements d'énarques coupés des réalités du pays, et d'hommes politiques profiteurs de droite ou de gauche ont plongé le pay Sans surprise

    1. 30% placent Sarkozy en tête,

    2. 34% Marine Le Pen, tous les autres hommes politiques de tous

    bords sont très loin derrière.

    3. 67% pensent qu'il y a trop d'immigrés en France,

    4. 50% sont pour le rétablissement de la peine de mort(ils n'étaient que 35% en 2001

    Quelles que soient les réflexions que nous suggèrent ces résultats,
    on voit en tout cas à quel degré de crise profonde nous a mené la politique de ces dernières décennies.
    Les Français ne veulent plus être gouvernés par les énarques, ils aspirent à un changement radical.

    Fantastique : Enfin la FRANCE réagit.
    C'est bon à faire savoir car ça redonne le moral et l'espoir !
    (Valeurs Actuelles n° 4026, page 19
    Il est inadmissible et regrettable que les médias ne diffusent pas ce genre d'information, cela prouve bien qu'ils sont à la botte du pouvoir

    Il est important que les vrais Français soient informés du résultat de cette enquête. Partager pour le faire savoir , yalla et fissa."


    Choix numéro 2, un valeur à crédit toxique jaugée par les spécialistes du marché :



    PDR.
    Si après ça ce groupe n'est pas la "révélation" de l'année ...
    Bah, ils ne sont plus à une secte près dans le milieu dans le fan-club de Marion Maréchal Le Pen.
    Bon, Bourbon a beau être aussi illuminé et bedonnant, pas sûre qu'il rallie à lui des raéliens en puissance, la concurrence est rude à l'extrême-droite.

    Les Brigandes : quand une secte antichrétienne et occultiste tente de subvertir la droite...
    « Les Brigandes », un groupe de jeunes filles maniant la guitare et abordant des thèmes politiquement incorrects : il n’en fallait pas plus pour susciter l’engouement soudain…
    CONTRE-INFO.COM

    J’aime
    J’adore
    Haha
    Wouah
    Triste
    Grrr

    Commentaires
    Oriane Borja
    Oriane Borja http://www.medias-presse.info/deprogrammation-par.../53470

    Déprogrammation par Civitas du concert des brigandes le 8 mai 2016
    MEDIAS-PRESSE.INFO


    Choix numéro 3, enfin une valeur sûre :


    En parlant de révélation, mais bon, à sa décharge qu'il fait pâle figure à côté de la Verdier-Molinié.

    Gattaz bide.jpg

  • Putain, après Eh Oh la gauche, Alléluia la droite ...



    Une rencontre entre Marion Maréchal Le Pen et Madeleine de Jessey ?

    Le Monde consacre un article à Marion Maréchal Le Pen et à l'Institution privée Saint-Pie X tenue par des religieuses à Saint Cloud.

    "Le Salon beige, le blog de référence de l’extrême droite catholique, relaie jusqu’aux petites annonces de l’école quand des postes d’enseignantes sont à pourvoir."


    L'article se focalise sur deux anciennes élèves de l'Institution : Marion Maréchal Le Pen et Madeleine de Jessey, porte-parole de Sens Commun et secrétaire nationale des Républicains :

    "Les deux anciennes de Saint-Pie-X se talonnent. En août 2014, Madeleine de Jessey intervient à l’université d’été de la Sainte-Baume, organisée par le très conservateur Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon ; Marion Maréchal en est la vedette l’été suivant. En mai 2015, la députée FN est invitée à la soirée des Veilleurs de Versailles ; la porte-parole de Sens commun lui succède un mois plus tard, sur ce terrain qu’elle pensait conquis. Aux dernières nouvelles, elles seraient enfin prêtes à se reparler : devant témoins, pour une interview commune dans la presse catholique."


    Une école qui semble bien reproduire des produits dérivés d'une idéologie sectaire, incapable d'un début de commencement de pensée propre, en revanche, une fabrique de perroquets libéraux de la meilleure facture.

  • L'extrême-droite pour les nuls

    Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.

    Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.

    Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.

    Marine soigne sa droite via sa niaise, une nièce qui racole sur les terres extrémistes avec ses gros sabots, mais les sillons sont tracés droits, la petite fait bien le boulot.

    Les pieds dans le purin de l'AF ne fera pas tache dans son parcours, cela n'a étonné que les commentateurs politiques qui ne semblent toujours pas avoir compris quel jouet Marion Maréchal Le Pen est entre les mains des lobbies les plus influents du système.


    L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré

    Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.

    Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.

    Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.

    Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.

    Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.

    Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.

    L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.

    La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.

    Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.
    Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.


    La terre des pères fondateurs des Etats-Unis ou l'âme des patriotes à côté de la plaque


    On trouvera difficilement plus atteint de libéralisme aigu que la « droite royaliste et traditionaliste », les deux termes étant totalement usurpés puisqu’il s’agit souvent d’une aristocratie issue de l’ancienne noblesse qui combattait les pouvoirs du Roi pour asseoir le leur, quant au traditionalisme, on fait là aussi difficilement plus anti catholique que ces gens-là dont le prochain n’est qu’un de leur caste, la France éternelle est pour eux celle qui défendrait leurs privilèges et caste.

    La Fayette est un de leur porte drapeau, La Fayette l’Américain qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir importer l’idéologie issue des Mayflowers en France, la patrie de ces gens-là est un no man’s land.

    On les entend déjà, "La Fayette, ce franc-mac, jamais !", il n'empêche que cela reste une référence dans les réseaux, tout comme Tocqueville, les lobbies libertariens auxquels l'AF est rattaché n'en font pas mystère.

    Et puis Aymeric Chauprade, et Mathieu Decosse Maréchal le Pen, leur franc-maçonnerie ne les dérange pas vraiment ...
    Et puis quoi, dénommer sa fille Olympe, d'accord, c'est un truc pour les dieux, mais on se demande si c'est franchement catholique.


    Il en est qui lutte contre le libéralisme, mais vraiment tout contre, Alain de Benoist mène aussi ce jeu trouble.

    Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants

    A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.

    Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.

    D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.
    Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.

    Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.

    Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.

    Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.

    On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.
    Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.

    Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?

    Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.
    Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.

    Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.


    La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris.

    Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.

    Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.

    Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.

    Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.
    A défaut d'être respectable et avouable ...


    Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés

    Le communautarisme est un libéralisme.

    Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.

    Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.

    L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.
    Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.

    La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.
    Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).

    Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.

    L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.

    A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.
    Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.


    A ce propos, les IFRAPadingues ont encore frappé


    La tête-à-claque porte-parole de l'IFRAP est effrayée par les aides sociales réservées à la jeunesse qu'elle préfère aux abois pour servir de proie à ses commanditaires.

    Cela les "désincit(erait)" à travailler, selon elle.

    Elle qui n'a jamais naturellement cherché de travail de sa vie, n'est pas à une ineptie réac près.

    La jeunesse ne demande que ça, du travail, c'est seulement que le libéralisme total prôné par la secte dans laquelle la demoiselle est embullée, mène irrépressiblement aux minima d'emplois et à leur précarité, salaires de misère que la jeunesse a raison de refuser, un minimum de dignité oblige.

    Il faudrait que ce genre de bourgeoises filles à papa arrête de faire semblant de penser pour ceux qui vivent dans le réel, ça fait parasite à éliminer ...


    Et pourtant, les vers sont dans le fruits, les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle sont sur les rangs.

    Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions.

  • Les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle

    Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions.

  • L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré

    Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.

    Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.

    Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.

    Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.

    Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.

    Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.

    L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.

    La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.

    Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.

    Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.

  • Comme Marion fricote avec les sales chrétiens, Marine aimerait bien se payer les sales juifs

    Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.

    Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.

    Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.

    La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris.

    Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.

    Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.

    Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.

    Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.

    A défaut d'être respectable et avouable ...



    Un association proche du FN pour cibler la communauté Juive en vue de 2017
    LE SCAN POLITIQUE - Lancée par un cadre du parti, elle vise notamment à contester les positions hostiles à Marine Le Pen qu'adopte le Conseil…
    LEFIGARO.FR|PAR MARC DE BONI

  • Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants

    A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.

    Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.

    D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.

    Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.

    Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.

    Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.

    Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.

    On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.

    Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.

    Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?

    Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.

    Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.

    Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.