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  • Les nominalistes, ennemis universels

    Il s'agit de nominalisme.

    La perversion du langage révèle l'existence des idéologies.

    L'idéologie libérale va "libérer" l'individu en "réformant", en réalité, elle ne s'applique qu'à détruire toute forme de société, de protections, pour ramener l'individu à l'état de nature, à ses instincts sauvages de violence.

    L'individualisme contre l'unité qui fait société, l’intérêt particulier contre l'intérêt général, le profit contre le bien commun.
    Avec la croyance (naturellement contredite par les faits), que la violence individuelle fera bénéfice collectif.

    Ce "progrès" est vieux comme le projet libéral, mais moins tenable que la vieille et durable civilisation unitaire, notre Etat-Nation est un modèle politique, d'organisation des affaires de la Cité, qui a fait ses preuves par le temps, l'idéologie libérale a encore des batailles à gagner avant d'abattre un tel rempart forgé par la volonté de se vivre et de se battre ensemble au lieu de s'abattre les uns les autres.


    Anne Dufourmantelle : «La perversion du langage empêche de sortir de la colère sociale»
    La mobilisation colérique a marqué cette campagne présidentielle. Mais pour l’auteure de la «Puissance de la douceur», la colère doit être écoutée, et, pour la…
    LIBERATION.FR

  • Savoir lire la "nationalisation temporaire" de Macron


    Si les mots peuvent nous parler, il ne faut pas voir dans le projet du président Macron, une volonté de recouvrer un pan stratégique de notre industrie nationale.

    Il s'agit d'une simple tactique libérale pour remporter un marché plus au futur avantage d'une multinationale "française", électrice et commanditaire de Macron.

    C'est une renégociation à la Farage ou à la Trump, ou encore à la de Gaulle, un "pragmatisme libéral".

    Le but est de gagner un peu de temps pour négocier au plus serré et faire pression.

    Mais chacun sait que l'UE interdit ce genre de manoeuvre, tout ce qui est national est hors-sol du marché, Macron lui-même explique qu'il ne faut pas s'y tromper et insiste sur le terme de "temporaire".

    Dans tous les cas, nos pans stratégiques nationaux, dont le transport et le savoir-faire industriel, ne sont pas au programme des libéraux.

    Ils veulent ses fleurons pour le privé qui les alimente, pas pour la France, mais pour l'oligarchie française, ce qui est bien différent, puisque c'est l'opposé.