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  • Aparté familial, professionnel et militant

    Enfants Iles Morbihan.jpg Personnellement, j'ai élevé mes enfants toute seule tout en travaillant et en militant.

    Je travaillais à la maison pour pouvoir les élever et lorsque je militais, soit nous les laissions à la mère du père de mes enfants une fois couchés à 20 heures (nous habitions chez elle la moitié du temps lorsque nous n'étions pas en région parisienne), nous boitions et collions la nuit avec le père de mes enfants dans la région de la Presqu'île, je pouvais repasser pour un éventuel allaitement de nuit, mes enfants étaient programmés comme du papier à musique; soit je les amenais aux réunions publiques.

    Je ne les ai jamais même laissés à leur grand-mère seuls lorsqu'ils étaient éveillés, sauf une fois, lors du premier mariage de Marine, ça a créé chez moi un tel choc que je suis arrivée à Montretout avec la moitié du visage paralysée, j'ai dû passer à l'hôpital de Saint Cloud juste en dessous pour passer un scanner, et les photos du mariage témoigne de cette réaction.

    Plus tard lorsqu'ils étaient scolarisés, j'ai travaillé à temps partiel pour pouvoir militer le temps où ils étaient à l'école et en périodes électorales, je mettais à profit mes jours de congés pour les campagnes, pendant que mes enfants étaient chez leur père un we sur deux ou trois et une partie des vacances puisque nous sommes séparés depuis que le quatrième était bébé.

    J'ai pris un congé parental d'éducation durant les trois premières années de mon dernier enfant (moment durant lesquels nous avons vécu tous les cinq avec moins que le RMI à l'époque).
    Puis j'ai ensuite aménagé mon temps de travail en fonction de leurs emplois du temps, pour les emmener à l'école tous les matins et pour manger ensemble à la maison entre midi et treize heures.
    Et de veiller à ce qu'ils aient des activités sportives culturelles et sociales.

    J'ai pu proroger mon temps de travail le soir quand ils ont pu rentrer seuls à la maison tous les quatre ensemble sous la garde des deux plus grands.

    Je dois dire avec fierté qu'ils ont toujours été d'une grande facilité et d'un grand sérieux, faisant leurs devoirs seuls à leur retour et ayant tous pris leur douche avant que je n'arrive pour faire le repas du soir tout en vérifiant éventuellement les leçons mais simplement pour ce plaisir partagé, ils ont toujours tout su tous seuls.

    Je leur ai seulement tous appris à lire, écrire et compter (et surtout, l'amour de l'école, des maîtres et d'apprendre ) avant le cours préparatoire, justement pour qu'ils puissent travailler seuls et avoir acquis les bonnes bases pour cela.

    Je pouvais partir le mercredi en les laissant le matin devant un jeu d'échecs et revenir vers 13 heures en les trouvant encore dessus à alterner entre lecture et partenaire de jeu. Nous n'avions ni télé ni console, ils avaient seulement accès à l'ordinateur en ma présence.

    L'éducation de mes enfants a été ma plus grande joie et ma plus belle fierté, je ne les remercierais jamais assez d'avoir été les enfants qu'ils ont été, joueurs, joyeux, vivants mais toujours sages et sérieux, j'ai toujours été étonnée, admirative et reconnaissante de leur comportement que toutes les personnes qu'ils ont pu côtoyer ont toujours trouvé remarquable.

    Mais jamais pour rien au monde, je n'aurais laissé le soin de s'en occuper à quiconque, c'était extrêmement prenant mais terriblement satisfaisant et gratifiant.

    Je pense leur avoir donné les plus solides bases affectives en espérant qu'elles les portent loin et longtemps.Personnellement, j'ai élevé mes enfants toute seule tout en travaillant et en militant.

    Je travaillais à la maison pour pouvoir les élever et lorsque je militais, soit nous les laissions à la mère du père de mes enfants une fois couchés à 20 heures (nous habitions chez elle la moitié du temps lorsque nous n'étions pas en région parisienne), nous boitions et collions la nuit avec le père de mes enfants dans la région de la Presqu'île, je pouvais repasser pour un éventuel allaitement de nuit, mes enfants étaient programmés comme du papier à musique; soit je les amenais aux réunions publiques.

    Je ne les ai jamais même laissés à leur grand-mère seuls lorsqu'ils étaient éveillés, sauf une fois, lors du premier mariage de Marine, ça a créé chez moi un tel choc que je suis arrivée à Montretout avec la moitié du visage paralysée, j'ai dû passer à l'hôpital de Saint Cloud juste en dessous pour passer un scanner, et les photos du mariage témoigne de cette réaction.

    Plus tard lorsqu'ils étaient scolarisés, j'ai travaillé à temps partiel pour pouvoir militer le temps où ils étaient à l'école et en périodes électorales, je mettais à profit mes jours de congés pour les campagnes, pendant que mes enfants étaient chez leur père un we sur deux ou trois et une partie des vacances puisque nous sommes séparés depuis que le quatrième était bébé.

    J'ai pris un congé parental d'éducation durant les trois premières années de mon dernier enfant (moment durant lesquels nous avons vécu tous les cinq avec moins que le RMI à l'époque).
    Puis j'ai ensuite aménagé mon temps de travail en fonction de leurs emplois du temps, pour les emmener à l'école tous les matins et pour manger ensemble à la maison entre midi et treize heures.
    Et de veiller à ce qu'ils aient des activités sportives culturelles et sociales.

    J'ai pu proroger mon temps de travail le soir quand ils ont pu rentrer seuls à la maison tous les quatre ensemble sous la garde des deux plus grands.

    Je dois dire avec fierté qu'ils ont toujours été d'une grande facilité et d'un grand sérieux, faisant leurs devoirs seuls à leur retour et ayant tous pris leur douche avant que je n'arrive pour faire le repas du soir tout en vérifiant éventuellement les leçons mais simplement pour ce plaisir partagé, ils ont toujours tout su tous seuls.

    Je leur ai seulement tous appris à lire, écrire et compter (et surtout, l'amour de l'école, des maîtres et d'apprendre ) avant le cours préparatoire, justement pour qu'ils puissent travailler seuls et avoir acquis les bonnes bases pour cela.

    Je pouvais partir le mercredi en les laissant le matin devant un jeu d'échecs et revenir vers 13 heures en les trouvant encore dessus à alterner entre lecture et partenaire de jeu. Nous n'avions ni télé ni console, ils avaient seulement accès à l'ordinateur en ma présence.

    L'éducation de mes enfants a été ma plus grande joie et ma plus belle fierté, je ne les remercierais jamais assez d'avoir été les enfants qu'ils ont été, joueurs, joyeux, vivants mais toujours sages et sérieux, j'ai toujours été étonnée, enthousiasmée, émerveillée, admirative et reconnaissante de leur comportement que toutes les personnes qu'ils ont pu côtoyer ont toujours trouvé remarquable.

    Mais jamais pour rien au monde, je n'aurais laissé le soin de s'en occuper à quiconque, c'était extrêmement prenant mais terriblement satisfaisant et gratifiant.

    Je pense leur avoir donné les plus solides bases affectives en espérant qu'elles les portent loin et longtemps.

  • Marion Maréchal Le Pen, un grand placement en remplace un autre

    Grosse opération de communication donnée en exclusivité chez les intégristes libéralo identitaires.

    La fille à papas et à Daddy veut postuler au rôle de mama.

    Pour s'occuper de "cette petite fille" répète-t-elle en boucle dans un message récurrent dans les medias, drôle de façon de parler de sa fille qui doit lui être bien étrangère.

    Faire semblant de s'intéresser à son enfant quand on l'a délaissé bébé pour mener une carrière, même si c'est pour flatter sa cour dans le sens du poil, c'est assez culotté, même avec un discours préparé Famille/Libre entreprise, le théâtre ne prend pas.

    La jeune femme qui découvre aujourd'hui qu'elle est mère figure pourtant dans les bons derniers de la classe à l'Assemblée nationale malgré une surmédiatisation due à sa peopolisation.

    Et voilà qu'on lui prête une autre place de fille à papa, il est vrai qu'en Afrique, auprès des grands démocrates françafricains, elle aurait plus de temps pour sa fille.

    Même si les nounous existent partout comme le rôle de potiche est universel, la farce pourrait prendre.

    Et de nous rejouer ensuite le retour de l'enfant prodigue, la mascarade du pied dans la réalité, pourquoi pas un guide de l'entreprise facile tant qu'elle y est, dans la pièce "J'écris un bouquin sur ma traversée du désert".

    Le théâtre de la vie politique est une vaste comédie humaine où les tristes clowns blancs portent le nez rouge de l'Auguste loufoque, le cirque continue.

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Le Retour de la France, un Nouvel Espoir

    Il faut inscrire dans la charte constitutive du nouveau parti qui défendra la France :

    - les préalables fondamentaux extrêmement explicites, ce parti n'admet aucune forme de racisme, y compris l'expression d'un anti-racisme sournoisement paternaliste (qui s'assimile à du racisme), comme le proposent certains autres partis.
    Le racisme, l'antisémitisme (variante racialiste), l'anti-islamisme, et autres déclinaisons, sont des vieilles croyances de personnes aussi peu instruites qu'humanistes.

    En France, il n'y a que des Français, dès lors qu'ils ont la nationalité française, et c'est la France qui les fabrique, c'est la France qui fait le Français.

    Les populations étrangères sont nos frères en humanité et toute politique étrangère doit s'efforcer de les respecter a priori.
    Notre programme n'est destiné qu'à préserver nos institutions fondatrices et l'esprit de nos lois, un esprit d'ouverture et de protection.

    - le libéralisme et le conservatisme nous sont des idéologies étrangères car étrangères à la France.

    - ce parti devra expliquer ce qu'est la France, un Etat-Nation unitaire.

    Cette unité des citoyens français dont notre Etat est garant, n'est assurée que par les institutions françaises respectées.
    L'Etat est doté d'attributs de souveraineté qui seuls permettent l'unité nationale.

    Au premier chef de ces attributs se trouvent la souveraineté monétaire.

    Il s'agit d'être extrêmement ferme sur le sujet et de démontrer en quoi notre France tant admirée par le monde, ne peut répondre de ce qu'elle est, que par cette clef de voûte.

    Et de renvoyer les prétendus intellectuels qui accusent notre souveraineté -celle-là en particulier- de tous les maux, c'est à la France qu'ils s'en prennent.

    Les attributs de souveraineté de notre Etat sont définis et expliqués dans nos livres d'histoire de notre droit.

    - Il convient d'expliquer en quoi la France diffère des autres civilisations, dans sa façon de préserver l'intérêt national et l'unité nationale, et notamment contre les intérêts particuliers, ceux des puissances d'argent en premier chef.

    - Il faut expliquer comment notre société est fondée sur l'impôt qui est notre contribution à notre présent et au futur de nos enfants.

    Cet impôt ne devant nullement servir à alimenter ceux qui se goinfrent déjà sur le dos des Français et qui seront d'ailleurs formellement contrôlés par l'Etat qui est l’émanation de tout le peuple français. Tel que le veut notre tradition.

    Ebauche