Grosse opération de communication donnée en exclusivité chez les intégristes libéralo identitaires.
La fille à papas et à Daddy veut postuler au rôle de mama.
Pour s'occuper de "cette petite fille" répète-t-elle en boucle dans un message récurrent dans les medias, drôle de façon de parler de sa fille qui doit lui être bien étrangère.
Faire semblant de s'intéresser à son enfant quand on l'a délaissé bébé pour mener une carrière, même si c'est pour flatter sa cour dans le sens du poil, c'est assez culotté, même avec un discours préparé Famille/Libre entreprise, le théâtre ne prend pas.
La jeune femme qui découvre aujourd'hui qu'elle est mère figure pourtant dans les bons derniers de la classe à l'Assemblée nationale malgré une surmédiatisation due à sa peopolisation.
Et voilà qu'on lui prête une autre place de fille à papa, il est vrai qu'en Afrique, auprès des grands démocrates françafricains, elle aurait plus de temps pour sa fille.
Même si les nounous existent partout comme le rôle de potiche est universel, la farce pourrait prendre.
Et de nous rejouer ensuite le retour de l'enfant prodigue, la mascarade du pied dans la réalité, pourquoi pas un guide de l'entreprise facile tant qu'elle y est, dans la pièce "J'écris un bouquin sur ma traversée du désert".
Le théâtre de la vie politique est une vaste comédie humaine où les tristes clowns blancs portent le nez rouge de l'Auguste loufoque, le cirque continue.
Marion Maréchal Le Pen, un grand placement en remplace un autre
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