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UE, quand les journalistes découvrent l'Amérique



La presse est en émoi, un Barroso se révèle au grand jour, comme il l'a toujours été, un agent au service des puissances privées.

Mais le journal Le Monde, sans doute pas de manière isolée, en rajoute une couche.
Le journal Le Monde se fout de la gueule du même nom.


Un gratte-papier de ce media déclare à propos de la sortie de l'UE de la Grande-Bretagne :

"On peut le regretter, nous l’avons fait. Mais le coup est loyal, démocratique. Par parenthèse, il devrait faire taire tous ceux qui, sans toujours se donner la peine de regarder comment fonctionne Bruxelles, dénoncent dans l’UE une machine quasi totalitaire. Elle ne l’est pas."

On reste sur le cul.

Pendant des années, à tous les journalistes qui sont venus m'interviewer moi comme d'autres, nous avions été sommés de répondre à la question de savoir comment nous sortirions de cette Europe.

La réponse était très simple, par referendum, dans un pays démocratique rajoutais-je, ce que des hommes ont fait, d'autres hommes peuvent le défaire, ce que des lois ont fait, d'autres lois peuvent le défaire, notre Constitution a été modifiée pour adopter les Traités, il n'aurait même pas été besoin de la remodifier, nul besoin de valider constitutionnellement la caducité d'un Traité, nous ne devons aucune allégeance à une convention morte.
Attali y allait de son couplet, affirmant que les Traités avaient été faits de telle sorte qu'il soit impossible d'en sortir.
A tel point que Marine avait diligenté, en la personne d'un Danne, aussi compétent qu'un Saint Just en son domaine, c'est dire, pour étudier la façon d'en sortir.

Ce qui aurait occuper sans doute les juristes, mais pas le citoyen, la démocratie n'a que faire de ce genre d'intendance, qui aurait naturellement suivi.

Que n'avons-nous pris pour avoir osé insinuer qu'un simple appel au peuple nous aurez libérés du joug bruxellois !
C'était impossible selon le gotha stipendié par les puissances financières, il pouvait prédire non seulement, le début de l'ère glacière en cas de sortie, mais également l'impossibilité totale de mettre notre idée de volonté démocratique en oeuvre.
Risées, traités en incompétence, rien ne nous a été pardonné.

Le Front est rempli de personnes incompétentes qui attendent des institutions un espoir.

Il se trouve que notre espoir réside dans les seules compétences possibles, celle de nos institutions.

Tous les autres ont prouvé leur qualité remarquée de nullité profonde, à tous ceux qui n'ont rien, il restera toujours la France, qui a déjà fait toutes ses preuves par l'Histoire.

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