Il faut délivrer à présent les reliques de Jeanne des mains des opuso libertariens villéristes, où elles ne sont pas plus à leurs places qu'entre celles des Anglais.
Finir dans un parc Villiersland, avec vue conditionnée à l'achat d'un ticket de manège hors de prix, le business anglo-saxon du folklore français, quelle tristesse.
Jeanne sera donc toujours prisonnière des Cauchons et des Anglais nouvelles générations.
Jeanne version prisonnière d'un parc à thème ...
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