On a récemment soufflé à la petite Maréchal Le Pen de s'inspirer du "modèle" australien en matière d'immigration.
Le modèle français ne l'inspirant guère ...
Enchantée par l'enchantement, la demoiselle a tout de suite sorti le lapin du chapeau tant elle fait entière confiance dans les voix d'extrême-droite qui la dirigent.
Pas de chance, on vient de découvrir que le grand secret du tour de passe-passeur australien réside non dans le fait de démanteler les trafics, mais au contraire de faire corps avec eux en alimentant le circuit par de juteux contrats avec les trafiquants d'êtres humains.
Entre maffieux, ils doivent se comprendre.
"Les six passeurs auraient reçu 30 000 dollars (26 500 euros) d’un ou de plusieurs fonctionnaires australiens des services d’immigration pour faire machine arrière vers… l’Indonésie. On savait que le métier de trafiquant d’êtres humains était un juteux business mais lorsqu’il est alimenté par des autorités étatiques, il devient franchement intéressant. Certains passagers ont confirmé la thèse d’une collaboration entre les autorités et les passeurs. Ces derniers ont d’ailleurs été obligés de révéler la manigance à la police indonésienne. En Australie, personne n’ose se livrer à l’exercice du commentaire. Le modèle exemplaire a pris un coup dans l’aile."
Marion Maréchal Le Pen entend des voix qui lui demandent de faire du trafic d'êtres humains
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