Quand le Front est reçu à l'Assemblée, ça ressemble un peu à la scène où l'impératrice d'Autriche reçoit les hommages des valets envoyés à sa place par l'aristocratie italienne.
Ils entonnent le magnifique air du chant des esclaves du Nabocco où Verdi magnifie le sentiment national en le puisant dans l'intelligence collective du c(h)oeur d'un peuple asservi.
Mais les représentants choisis sont des branques, et se font ridiculiser par une impératrice royale qui les reçoit comme des princes.
Force est de constater que ni les représentants du Front ni la représentation des journalistes n'a été à la hauteur de l'Assemblée Nationale.
L'ombre de Nabuchodonosor semblait planer dans les deux camps.
Sissi 3. rész - Sorsdöntő évek 11/12
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