"Je suis regonflée à bloc ! Mais on va vous avoir ! Mais quand ça va arriver ça va vraiment vous faire mal !"
Elle avoue faire des procès "pour se payer des vacances", elle attaque avec la grosse Bertha une mère de famille nombreuse isolée et pauvre, elle rétropédale dans la semoule quand elle est prise en flagrant délit de menace où chacun a pu entendre et se rendre compte qu'elle ne "rigolait" pas du tout. Elle a eu un réflexe maffieux.
Si Marion Maréchal Le Pen n'était qu'une peste, mal élevée, utilisée de façon très malsaine par son propre grand-père comme marionnette et comme appâts, mais la chose est plus grave.
Quant on songe qu'elle se verrait bien au pouvoir, qu'on lui confierait notre avenir et celui de nos enfants, cela devient angoissant.
Une péronnelle n'aura jamais qu'un destin médiocre, il pourra usurper tous les postes en usant d'un pouvoir de fille à papa, cela ne fera jamais d'elle un homme à suivre.
Ou plutôt, ce serait bien qu'elle quitte un mouvement national qu'elle salit et qu'elle forme son propre appareil, ce qui permettrait d'attirer à elle tous les droitards à la violence atavique, elle y exprimerait pleinement ses idées repoussantes à bien des égards, et épargnerait ainsi les tenants véritables de la France de la plaie qu'elle leur inflige.
L'essence profonde de la France, son âme, l’esprit de ses lois, c'est l'unité et la fin des vengeances privées.
Cela ferait d'un mal un bien et permettrait un jour peut-être de reprendre espoir.
Quand Marion Maréchal Le Pen laisse parler sa vraie nature
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