Sans que l’on sache précisément la teneur du discours du juge ni même les éventuels échanges ayant pu avoir lieu entre les différentes parties, les trois personnes se sont ensuite vues signifier leur mise en détention par le juge des libertés et de la détention. En déclarant « il y a du lourd », un avocat à l’identité non dévoilée a partiellement expliqué la faible communication autour de ce dossier.
Un lien avec les attentats de Paris ?
On sait néanmoins de source judiciaire que le second homme mis en détention avait précédemment été condamné avec deux autres personnes pour la dégradation d’un bar homosexuel en avril 2013. Et selon un proche de cette affaire de trafic d’armes, ce dernier pourrait avoir un lien, « direct ou non », avec les attentats commis en début de mois en région parisienne : « On verra si cette hypothèse se confirme ».
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