Mélenchon, si tu n'avais pas bouffé à la bonne soupe socialiste pendant trente ans, tu serais peut-être un peu crédible aux yeux des travailleurs.
Garde tes larmes pour ton passé qui a contribué à mettre notre belle patrie et nation dans les mains de la finance internationale.
Ce qui nous préserve encore, le seul petit bout d'espoir, c'est ce qu'il reste de France sur laquelle vous avez tous craché.
La France, c'était fini, c'était petit, c'était l'Europe, c'était le monde maintenant.
Vous oubliiez juste alors que la France était un miracle, qu'elle avait ébloui et fait espérer le monde entier, qu'elle servait de référence et de modèle à tous les admirateurs de la liberté, du courage, des arts, des lettres et des sciences, de la civilisation contre la barbarie.
Vous oubliiez juste qu'il ne fallait pas toucher à la France, que la France, c'est un Etat-Nation, un cadre politique, des institutions, des attributs de souveraineté.
Vous l'avez dépecée, vendue à la découpe, parfois traînée dans la boue, avant peut-être de vous rendre compte de ce que vous aviez fait, et encore ...
Pleurez Mélenchon, mais repentez-vous aussi, ce sont les enfants de la France qui paient à présent, les enfants de demain qui paieront encore, et les morts pour elle que vous avez insultés.
Les Français, les travailleurs comme vous dites, s'en souviennent, ceux qui ne vivent pas de la rente se souviennent, ils ont besoin de la France.
Le monde entier a besoin de la France.
Toucher à la France, c'est s'en prendre à l'humanité.
Mélenchon, nous pleurons, nous, depuis que nous vous avons vu, vous et d'autres, abattre la France.
A tous ceux-là nous dresserons le monument qui leur convient
avec la schlague avec le fouet, avec nos pieds, avec nos poings
Avec des mots qui colleront sur leurs faux-plis,
sur leurs bajoues, des marques de honte et de boue.
Et nous crirons encore : "La France !" en nous abattant.
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