Ce que Marine essaie désespérément de comprendre et qu'elle ne veut pas comprendre, c'est que NDA et Nigel Farage ne sont pas les seuls à la prendre pour une conne, il y a aussi : Robert Ménard, Paul-Marie Coûteaux, Aymeric Chauprade comme tous ceux qui se rattachent idéologiquement au Club de l'Horloge et à la logique de l'Union des droites.
Mais Marine ne prend-elle pas elle-même ses électeurs pour des imbéciles en se rattachant à ses conseillers économiques tenants de l'Ecole Autrichienne qui est la plus extrême des écoles libérales ?
A ce jeu d'imbéciles, que chacun récolte un jour ce qu'il mérite.
"Alors que Nigel Farage, le leader de l'United Kingdom Independence Party (Ukip) a estimé jeudi que «l'antisémitisme est inscrit dans l'ADN» du FN, Marine Le Pen a dénoncé les «déclarations ignominieuses à l'égard de mon mouvement» de Nigel Farage.
«J'ai essayé désespérément de trouver la raison qui le pousse à ces déclarations somme toute assez nouvelles, car par le passé il avait plutôt eu à notre égard un comportement courtois», s'est désolée Marine Le Pen. «Est-ce que peut-être nos assistantes sont moins jolies que celles de Nicolas Dupont-Aignan ? Ca pourrait être une raison», a-t-elle suggéré, dans une allusion à la tête de liste du député de l'Essonne dans la circonscription Est, Laure Ferrari, qui a été l'assistante parlementaire de Nigel Farage au Parlement européen.
«Je pense qu'il est de mauvaise foi»
«Nicolas Dupont-Aignan, je vous le rappelle, vient d'accueillir dans son groupe Gilles Bourdouleix, dont le seul acte qui l'a fait connaître, est de dire que Hitler n'avait pas tué assez de Tziganes», a accusé Marine Le Pen. Soit Nigel Farage ne le sait pas, soit il est de mauvaise foi. Je pense qu'il est de mauvaise foi».
Une amende de 750 à 5.000 euros a été requise mardi 15 avril devant la cour d'appel d'Angers à l'encontre du député-maire (ex-UDI) de Cholet (Maine-et-Loire), poursuivi pour avoir estimé en juillet 2013 que Hitler n'avait «peut-être pas tué assez» de Tziganes. Dans le cadre du financement public des partis, Gilles Bourdouleix s'est rattaché à Debout la République, le parti de Nicolas Dupont-Aignan, comme d'autres députés centristes ou le député d'extrême droite Jacques Bompard." (le Parisien 26/04/14).
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