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Pas de ça chez nous

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JMLP et Marion Maréchal Le Pen rendent visite à Béatrice Bourges, une amicale rencontre d'extrême-droite.
Aucun problème là-dessus, Béatrice est bien la droite de la droite selon la définition même de Marine Le Pen.
Il n'y a qu'à demander à ses amis de Liberté Chérie.


Nous savons bien que Béatrice Bourges était une référence chez les libéraux du Front (Mégrétistes, Languistes, Horlogers, Gollnischiens) et qu'elle gravite dans la sphère de Contribuables Associés de Washington où elle va faire son marché idéologique.
Ces tristes tendances auraient dû être éloignées du Front National pour cause d'incompatibilité de base, l'Etat-Nation France est l'antithèse de l'idéologie anglo américaine des Tea Parties.

Ces Tea-partistes sont l'anti-France absolue, ils se calquent sur l'idéologie anglo américaines des pères fondateurs des Etats-Unis. Ils représentent l'Ecole de Chicago et l'Ecole Autrichienne (toute américaine) et sont les nouveaux Chicago Boys, ces agents que la CIA envoient pour déstabiliser les Etats et répandre l'idéologie libérale anti Etat, la liberté individuelle soutenue par les lobbies et le communautarisme les plus sectaires.

Le Front ne sait même pas faire la différence entre un rassemblement de loobies commandités et manipulés par Washington, et le peuple qui les déteste naturellement. Le Front veut-il réellement servir la France et les Français ou achalander une boutique d'extrême-droite américaine ?

Le Front croit-il vraiment qu'il peut prendre ainsi les Français pour des imbéciles en tenant un langage qui colle mal à ces accointances idéologiques ?

 

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xbiumu_le-liberalisme-pourquoi-ca-marche_news

Le Libéralisme, pourquoi ça marche ?

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Le Libéralisme, pourquoi ça marche ?
 
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Crise : Sarkozy inspiré par le diable rouge...
 La "révolution Bleue" de Béatrice Bourges avec Liberté Chérie.
 
Liberté chérie est une fédération d'associations françaises ayant pour vocation de réformer le modèle social français. Créée en mars 2001 sous l'appellation Liberté, j'écris ton nom, elle vise à promouvoir la pensée libérale et refuse toute subvention publique : ses ressources viennent de ses adhérents et de ses partenaires financiers.
Son nom initial avait été choisi en référence au poème Liberté du communiste Paul Éluard. Ce poème rédigé en 1942, reste très associé à la lutte contre le fascisme et le nazisme. Selon les dirigeants de l'époque, ce choix avait été fait pour marquer le fait que le libéralisme n'était ni de droite, ni de gauche2 : l'association a depuis toujours refusé d'être cataloguée à droite comme à gauche. Les dirigeants affirment ainsi avoir plus soutenu Tony Blair que Jacques Chirac contre lequel elle a d'ailleurs organisé un happening en octobre 20043.
En 2003, l’association décide de promouvoir ses idées en développant une stratégie plus militante. Le 15 juin 2003, à son appel à manifester « en faveur des réformes et contre les blocages », 30 000 personnes selon Le Monde (18 000 selon la police, 150 000 selon les organisateurs4) ont défilé de Châtelet à la place de la Concorde à Paris pour dénoncer les blocages des syndicats dans le cadre du débat sur la Loi Fillon sur les retraites. L'association avait pour mot d'ordre « oui aux réformes » (sans nécessairement soutenir la réforme Fillon) et « non aux blocages ». Depuis, l’association a organisé d’autres contre-manifestations, notamment à Marseille en novembre 2005 pendant le conflit de la RTM.
En janvier 2004, l’association se transforme en une fédération d'associations actives dans de nombreuses villes de l'hexagone.
Le 29 septembre 2004, elle coorganise avec d'autres associations les premières Rencontres de la réforme à la maison de la Chimie, à Paris, pour proposer et défendre six grandes réformes en présence de 70 députés et 2 ministres5.
Moyens d'action[modifier | modifier le code]
 
Contre-manifestations pour protester contre les blocages et grèves lors des grands conflits sociaux. Par exemple :
mouvement de protestation contre Loi Fillon sur les retraites de juin 2003
grève de la RTM de novembre 2005
En mars et avril 2006, Liberté chérie a organisé 4 contre-manifestations en 4 semaines afin de dénoncer le blocage des universités par le mouvement anti-CPE. Opposée au CPE6, l’association disait ne pas accepter que l’on se « serve d’autrui comme d’un moyen pour arriver à ses fins politiques ». La plus grosse de ces manifestations anti-blocage a réuni moins de 2000 entre la place du Châtelet et la Place de la Bastille7.
Le 18 novembre 2007, suite aux grèves relatives à la réforme des régimes spéciaux de retraite, l'association a appelé à une grande manifestation « contre tous les blocages » de la Place de la République à la Place de la Nation8. Elle a réuni entre 8 000 et 20 000 personnes9.
Utilisation des mêmes méthodes de rhétorique et d’action que les syndicats.
Fête de la liberté, tentative de réponse à la Fête de l'Humanité. Rendez-vous de 25 associations libérales au Pavillon Baltard avec conférences, concerts, shows humoristiques, stands associatifs, spectacles de magie, etc. Première édition le 25 juin 2006. Selon l'association, cette fête a rassemblé 900 à 1 000 personnes alors que la Fête de l'Humanité en rassemble 500 à 600 000 chaque année.
« Fun-politique »
édition à 2 000 exemplaires en décembre 2004 et commercialisation d'un jeu de société Monopole public.
opérations symboliques comme la plantation de maïs OGM sur le Champ de Mars à Paris.
« Cafés liberté » hebdomadaires à Paris, Grenoble, Amiens ou Toulouse où sont abordés des sujets d'actualités comme la Loi Dadvsi ou le terrorisme10
Conférences avec par exemple Serge Schweitzer, Henri Lepage ou Pascal Salin.
Université d’été annuelle
Formation tout au long de l’année de ses membres aux thèses libérales et aux techniques de communication.
Idées[modifier | modifier le code]
 
Influences[modifier | modifier le code]
Liberté chérie a pour ambition de diffuser la pensée libérale au sein de la société française, notamment la responsabilité individuelle ou l'autonomie de l'individu, et de lutter contre le socialisme, qu'elle considère être une idéologie dangereuse. Elle s'inscrit dans la tradition du libéralisme : elle plaide pour une limitation de la taille de l'État. Elle souhaite une société d'égalité des droits, de laquelle seront donc supprimées toutes sortes de « privilèges » et de « statuts ».
Pour Liberté chérie, la pensée libérale a été principalement représentée et développée en France par Turgot, Benjamin Constant, Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat ou, plus récemment, Jean-François Revel, Pascal Salin ou encore Philippe Nemo. Philippe Nemo a une forte influence sur la mouvance SOS Education dont Vincent Laarman est le dirigeant. Cette mouvance est de plus en plus contestée à droite au travers du collectif informel sos-justice.
À l'étranger, elle est représentée par John Locke, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Ayn Rand ou Milton Friedman.
Liberté chérie se veut à la fois une association politique, rassemblant les libéraux de toutes tendances, et un think tank libéral.
Thèmes[modifier | modifier le code]
Liberté chérie a pour vocation de traiter des thèmes d'actualité sous un angle libéral. Elle a publié sa première liste de propositions de réformes11 sur le syndicalisme, l'éducation, l'emploi, la retraite, la santé et le logement.
Quelques points jugés « clefs » par l'association :
Emploi
Simplification du Code du travail, libre négociation des termes du contrat de travail entre l'employeur et l'employé.
Amélioration du fonctionnement du système éducatif, considéré comme « usine à chômeurs ».
Retraites
Suppression des cotisations retraite obligatoires pour permettre une épargne libre et faciliter l'achat de son logement.
L'État subvient aux besoins de ceux qui ne sont pas parvenu à se constituer une épargne retraite.
Santé
Suppression des cotisations maladie obligatoires pour permettre une assurance libre et concurrentielle.
L'État subvient aux besoins de santé de ceux qui n'ont pas de revenus suffisants et des personnes dépendantes.
Éducation
Autonomie totale pour les établissements scolaires (programmes, méthodes, professeurs).
Mise en place du chèque éducation, subventionnant l'élève et non plus l'établissement.
Syndicalisme
Suppression des subventions publiques aux syndicats et publication de leurs comptes.
Liberté aux salariés de choisir le syndicat qui les représentera pour négocier la convention collective qui s'appliquera à leur contrat de travail.
Logement
Libération du foncier.
Privatisation des HLM.
Organisation[modifier | modifier le code]
 
Liberté chérie revendique près de 30 000 sympathisants. La structure fonctionne avec 25 responsables au niveau fédéral et près de 100 répartis dans sa quinzaine de comités locaux12.
Les présidents successifs depuis 2001 ont été : Édouard Fillias, Christophe Maillard, Aurélien Véron et Vincent Ginocchio qui est l’actuel président depuis février 2006.
Les fondateurs (Édouard Fillias et Sabine Herold) ont, en mars 2006, fondé le parti politique Alternative libérale, parti qui abandonne ce statut en juillet 2011 afin d'évoluer en « œuvre auxiliaire », dans le cadre de son rapprochement avec le Nouveau Centre et pour continuer d' « œuvrer au rassemblement des libéraux aujourd’hui impliqués dans des partis indépendants »13.
Fillias et Herold n'exercent plus de responsabilité au sein de l'association Liberté Chérie et s'en sont désengagés afin de se consacrer à leur carrière politique. Aurélien Véron a fondé le Parti libéral démocrate en septembre 2008. Liberté Chérie se déclare être totalement indépendante d’Alternative libérale et du Parti libéral démocrate. L’association affirme d’ailleurs se méfier de tout parti politique, quel qu’il soit.
Notes et références[modifier | modifier le code]
 
↑ Présentation de Liberté Chérie [archive]
↑ Sabine Herold et Édouard Fillias, Liberté, liberté chérie, Les Belles Lettres, 2003
↑ Manif libérale in Le canard enchainé, 6 octobre 2004
↑ « À Paris, les "antigrèves" défilent pour soutenir le projet Fillon [archive] », Le Monde, 2003 (rapporté par Liberté chérie)
↑ Les rencontres de la réforme sur le site de Liberté chérie [archive]
↑ Elle et nous [archive], Public Sénat, 19 septembre 2006, rapporté par Liberté chérie.
↑ Le Monde, 12 avril 2006
↑ « Dimanche 18 novembre : Grande manifestation à Paris contre tous les blocages ! » [archive], Liberté Chérie
↑ « Plusieurs milliers de personnes manifestent à Paris contre les grèves dans les transports [archive] », La Tribune, 18 novembre 2007
↑ [1] [archive]
↑ Positions de Liberté Chérie sur les réformes nécessaires en France [archive] 02/09/2006 - Source Liberté chérie
↑ [2] [archive]
↑ Alternative libérale : du parti à l’œuvre auxiliaire [archive], juillet 2011.

 

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