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tafta

  • TAFTA, organe privé de réglement des différends, un positionnement très libertarien en phase avec l'idéologie des économistes de Marine Le Pen

    C'est très libertarien.
    Allez on parie qu'aucun journaliste ne va demander aux conseillers économiques de Marine Le Pen leur véritable position idéologique sur le sujet (OK, ils peuvent se dire contre, mais il faut savoir que s'ils sont contre, c'est parce qu'ils estiment que l'Union Européenne est trop étatiste et n'a même pas à intervenir dans le sujet).


    Et on espère naturellement qu'Etienne Chouard lance le débat sur la justice privée la prochaine fois qu'il passe sur Radio Courtoisie, on va se marrer.

    On pourrait également proposer le même débat au Cercle Aristote où Pierre-Yves Rougeyron inviterait son mentor John Laughland pour en débattre, bonne rigolade en perspective aussi.
    Le SCANDALEUX organe privé de règlement des différends est DÉJÀ EN COURS DE VOTE AU...
    chouard.org
     
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      Oriane Borja http://www.wikiberal.org/wiki/Justice
      www.wikiberal.org

      "Dans l'optique 
      libertarienne, la justice est rendue par un arbitre (qui peut être privé) dans le but de régler pacifiquement un conflit entre individus ou groupes d'individus (associations, entreprises)."


      • « La privatisation des tribunaux civils est tout à fait concevable et réaliste. Il existe présentement aux États-Unis des milliers d'arbitres privés auxquels les parties à un contrat peuvent librement recourir pour régler un litige, et pareil recours est souvent prévu à l'avance dans les contrats. Devant l'inefficacité des tribunaux de l'État, observe Rothbard, les sociétés d'arbitrage privées sont florissantes. »
            — Pierre LemieuxL'Anarcho-capitalisme
      • « Dans une telle société (anarcho-capitaliste), la loi est un produit du marché. Une cour de justice vit de la facturation des services d'arbitrage qu'elle rend. Son succès dépendra de la réputation qu'elle obtiendra du point de vue de l'honnêteté, de la fiabilité, de la promptitude et de l'attrait auprès de ses clients potentiels de l'ensemble des lois qu'elle applique. Les clients immédiats sont les agences de protection. Mais une agence de protection elle-même vend un produit à ses clients. Dans ce produit entrera le ou les systèmes juridiques des cours de justice dont elle est cliente, et sous lesquels ses clients seront par conséquent jugés. Chaque agence de protection essayera d'entrer en affaires avec les cours de justice dont le système juridique plaira le plus à ses clients. »
            — David FriedmanVers une société sans État
      • « Au cours de l'histoire, les hommes de l'État ont confisqué les droits de la victime. Ils vont jusqu'à inventer des victimes, comme « l'ordre public » que personne n'a jamais vu mais qui est toujours prêt à se dire agressé. Le danger dont l'histoire révèle la manifestation constante est que la technique pour accéder au pouvoir et s'y maintenir est la fabrication de délits dont le pouvoir peut ensuite dénoncer les auteurs. Lorsque les hommes de l'État ont la faculté de déclarer que « la société » est une victime, chacun de nous devient un criminel potentiel. Retirer l'administration de la justice aux hommes de l'État est essentiel à notre liberté. »
            — Christian Michel
      • « Justice : un produit plus ou moins frelaté que l'État vend au citoyen pour le récompenser de son obéissance, de ses impôts et des actions civiles qu'il exerce[2]. »
            — Ambrose Bierce (humour)Le Dictionnaire du diable