Le trafic d'êtres humains n'est pas que l'apanage des groupes maffieux locaux, il intéresse aussi ceux des places boursières.
Si les malheurs de l'humanité peuvent faire le bonheur et le profit d'un petit groupe, le marché du déplacement de population n'aurait pas besoin de s'arrêter.
Le patron d'Airbus veut un marché du travail plus souple pour aider les réfugiés
Dans une tribune parue ce lundi 26 octobre dans la presse allemande, Tom Enders, le patron d'Airbus, propose un assouplissement du marché du travail permettant…
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