Pour protéger la recherche et l'innovation, il existe évidemment des moyens juridiques, ce que va protéger la directive "secret d'affaires", ce sont les données d'intérêt public qu'elles ne veulent pas que le public connaisse.
Et puis on se marre avec l'espionnage industriel, les mêmes qui vendent des sécurités pour les données, sont ceux qui les piratent, il n'y a aucun secret, seulement du business du secret, et aucune PME-PMI ne saurait survivre si une multinationale en a décidé autrement, les petits ne sont que les joujoux des grosses - leur moyen de mailler le territoire, de décentraliser, d'asseoir la flexibilité, d’accroître leur rentabilité- dans le libre marché -dont la réglementation étatique est l'ennemie-, les petits sont les proies des gros, c'est la loi "naturelle".
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Catégories : Brèves, libéralisme mondialisme
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