Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand militants d'extrême-gauche et d'extrême-droite se touchent les fils

Lors de la manifestation interdite du 6 février 2016 à Calais, un militant d'extrême-droite arborant un pullover siglé Chrétiens d'Orient, s'est rendu Place des Armes, où se trouve la statue du Général de Gaulle.

Elle avait été dégradée deux semaines auparavant d'un "nik la France" par un militant du mouvement "No Borders".
Le militant de Pegida a alors fait des photos du général recouvert du drapeau représentant les armes du Mouvement Deus Vult International auquel il appartient.

Il est rapidement menotté par la police.

Amené au commissariat, il est soupçonné d'être également l'auteur du "nik la France" de la manif des No Borders, et pour cause, la photo prise du militant d'extrême-gauche montre une personne dont le militant d'extrême-droite est le portrait craché.

Le militant niant être la personne sur la photo, il est relâché.

Alors hasard, ou réalité ?

Bon, in extremis :) , le gars peut aussi être de la police, mais ça paraît grossier.

Lien permanent Catégories : Brèves

Commentaires