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Du pathétique de la fin des hommes politiques

 

Ne prenons que la V ème et ne gardons des précédentes que le fait qu'ils se croient toujours tous César et partent finalement Pompée. 

De Gaulle se faisant bouler par son peuple par référendum, Pompidou qui s'était vu accompagner par un refrain populaire dont je me souviens encore de l'air, cela chantait "Pompidou est mort" sur un air joyeux dans les HLM des Chênes Verts de la Trinité, banlieue populaire de Nice où nous habitions alors.

VGE et son "Au revoir" du plus grand effet comique, Mitterrand qui court après Dieu sur son lit de mort, Chirac qui se fait dessus selon sa charmante épouse qu'il se voit condamner à subir jusqu'à la fin de ses jours, Sarkozy qui pose en slip et nous fout sa femme à poil sur tous les murs, Hollande qui touche le fond de la piscine tandis que l'on dévoile le côté Loana de Julie Gayet.

Il n'y aurait que JMLP qui n'aurait pas sa fin en papillotes ?

Que nenni.

Une vraie tragi-comédie.

C'est vrai que ça a un côté fin à la Ceausescu, en plus comique, mais JMLP en rajoute dans le mélodrame, histoire de faire monter la mayonnaise médiatique et de se draper pour sa petite mort politique qui ressemble davantage à un suicide qu'il souhaiterait, en bon gourou, collectif.
Cela aurait bien été une première pour lui de se la jouer collectif.

 

 

 

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