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Les Le Pen, la justice, et le péché

Il est vrai que dès lors que l'on touche à ses petits intérêts financiers et de pouvoir ridicules, Jean Marie Le Pen n'hésite pas à saisir la justice qui, en d'autres circonstances pour lui, seraient tenue par les juifs et les franç-maçons n'est ce pas.

Même réflexe finalement pour Marine et Philippot qui voit en leurs propres manquement au droit, la justice de Taubira, naturellement.

Arroseurs arrosés arrosant, Marine Le Pen est née à la politique en ayant dû à défendre aux Prud’hommes, les intérêts du Front contre les droits du travail qu'il ne respectait pas.

Eprouvée, elle s'est ensuite mue elle-même en procédurière invétérée selon une mentalité toute anglo américaine, se servant de la justice, comme de relais médiatiques en mettant en avant un sommet de l'iceberg qui lui donnait gain de cause, contre la partie émergée qui lui donnait tort et qui ne se verrait pas, les tribunaux permettant en tous les cas de faire pression et d'agiter du vent à court terme adapté à une communication de lobbyiste de première classe.

Personnellement je retiendrai deux histoires judiciaires :

- une première où Marine a abandonné en rase campagne une de ses protégées après l'avoir excitée, c'est l'exemple d'Anne-Sophie Leclere.

Après les événements de La Manif Pour Tous et le déchaînement tout aussi outrancier que honteux contre madame Taubira et les bananes qui ont volé bas venant de pseudo cathos sous l'emprise sataniste des lobbies libertariano opusiens, la militante abrutie s'était crue investie logiquement de la même mission d'origine ku klux klanique et de glisser elle-aussi sa quenelle façon racisme enveloppé dans une peau de blonde.

C'est une pauvre débile qui a pris pour tous les autres, sacrifice du mouton d'adhérent quand il répète la teneur du discours latent mais qu'il se fait pincer en trop grand flag pour pouvoir la ramener.

- et une deuxième, la mienne, on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Confrontée à une attaque d'une violence extrême pour avoir simplement voulu défendre les principes d'une frontiste innocente qui croyait que les Le Pen voulaient défendre la France.

La même famille qui a simplement voulu m'assassiner pour avoir eu l'outrecuidance de dénoncer les lobbies et conflits d'intérêts anti-France régnant à la cour.

Je n'avais rien à gagner et plutôt tout à perdre mais mon combat n'a jamais été de me poser la question de mon intérêt personnel, un idéal français dans un cœur militant, plutôt la mort que la souillure, quand vous êtes pure, vous ne pouvez pas faire semblant.

Bref, en toute chose, on est souvent puni par là où on pèche.

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