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La dissidence, faux-nez cons

Le terme "dissident " est apparu la première fois quand la CIA a retourné Soljenitsyne contre son pays.

Ce que pouvait dire par ailleurs Soljenitsyne n'avait aucune importance, il était utilisé pour déstabiliser son pays et pour rien d'autre.

On a bien vu qui utilisaient le "dissident" ensuite, Villiers en avait fait un saint pour mieux nous refourguer sa daube thatchérienne, avec une couche de vernis moral pendant que ses fistons passaient leur temps à s'enculer (eh oui, les fins de race existent. A force de se mélanger, plus une éducation rigide et la transmission de la pratique dans leurs milieux autorisés, la descendance est logiquement dégénérée), et lui à boire pour oublier sans doute qu'il baisait la France en s'entichant des idéologies anglo américaines les plus dégueulasses.

Pour le reste, la rupture que le "dissident" appelle de ses voeux, est une idéologie de la tabula rasa.

La France n'est pas encore achevée, et les "dissidents "se présentent aujourd'hui comme ceux qui entendent la précipiter plus rapidement encore dans le chaos avant le néant.

La pente n'en sera que plus difficile à remonter.

Sauf à comprendre naturellement que le but n'est pas celui-là.

L'objectif est bien d'abattre les derniers pans qui font le France et par là-même ce qui nous maintenait encore en société.

Et l'alternative à la société n'est pas une autre société, c'est l'anti société; la société, c'était ce que le temps avait ciselé de la France.

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