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Le bras droit de la Quenelle

 

Alors que le champ antiraciste est plus que jamais désorienté (négation persistante de l'islamophobie, récupération de la Marche pour l'Egalité...), et que les soupçons d'antisémitisme touchent à n...
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    La question géopolitique : la droite populaire et les réseaux syriens
    La droite populaire, et particulièrement ses jeunesses, se sont mobilisées contre la position de la France sur la Syrie : pétition et pour certains manifestations. Une position, au sens propre du terme, discutable. Et conforme à celle de l’ensemble de l’extrême-droite. En arrière-plan, quelques coïncidences à relever, toutefois. Un membre éminent de la Droite populaire, Bernard Carayon, fut lié à « Lettre Sentinel analyses et solutions », une officine co-dirigée par un proche du régime syrien basé en France : Frédéric Chatillon. Dans la revue Sentinelle numéro 10, on passe ainsi d’un entretien exclusif avec le général Mustafa Tlass (contact du dit Chatillon) à la transcription d’un discours de Carayon (dont le site est alors référencé par Sentinelle). Ce monde étant particulièrement petit, Chatillon s’avère un intime de Dieudonné, Soral et de la famille Le Pen. Il est passé par le GUD (organisation néofasciste étudiante), tout comme Carayon. Au moment de boucler cette enquête, un dernier coup d’œil à Twitter, d’où est parti le scandale, s’impose. Les @JeunesDroitePop viennent alors de s’abonner à @fredchatillon. Et sur Facebook, un événement est créé par Pierre Gentillet en prévision d’une nouvelle conférence Jeunes/Droites Populaire au siège de l’UMP. L’orateur annoncée n’est autre que…Bernard Carayon.
    Chatillon Droite Pop

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