http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2015/04/06/chassez-le-gaspis-chassez-le-pauvre-5598292.html
En commentaire de cette brève, on me dit que je suis bonne à interner, vraiment ?
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Laurent Leisi "L'extrême-droite, c'est ça, les pauvres, les malades, les handicapés, les vieux, tous les faibles, c'est fait pour crever"
Toi t'est vraiment en cas social, depuis le temps que je lis tes inepties, je pense que tu devrais consulter un spécialiste, mais alors un tout bon... -
Oriane Borja Qu'a donc voulu dire Contribuables Associés dans cet article de l'Observatoire des gaspillages sur le RSA ?
L'extrême-droite, selon la définition même de Marine Le Pen, c'est la droite de la droite économique.
Qui répond mieux à cette définition que les libertariens libéraux cons de Contribuables Associés ?
Contribuables Associés offre des formations régulières à Washington depuis des années pour former ce qu'ils estiment être des élites.
Ce sont des formations dans les lobbies libertariens américains avec un entretien intime avec Ron Paul en dernière instance.
Ron Paul ne fait aucun secret de son idéologie reprise par ses réseaux une fois de retour dans le pays réel de Radio Courtoisie.
Offrez-vous une formation et demandez-lui ce qu'il pense du RSA, de la sécurité sociale ou des indemnités du chômage, et pourquoi.
Peut-être ensuite si vous êtes touché, aurez-vous besoin d'un bon spécialiste, parce qu'a priori, ça ne laisse pas indifférent. -
Oriane Borja Philippe Némo :
"Je voudrais replacer ce débat dans un cadre philosophique. Le RSA relève plus généralement du socialisme qui règne dans notre société. Socialisme qui a pris un côté religieux, fanatique, et qui a atteint toutes nos élites françaises. Je crois que c’est une sorte de délire collectif, le mot n’est pas trop fort ; j’espère seulement que nous nous réveillerons un jour.
Ce dont on ne se rend pas assez compte, ce sont les conséquences psychologiques et sociales de ces aides. Prenez l’API aux Antilles, iles que je connais bien. Il est bien vu, là bas, d’avoir des enfants. Cela incitait, autrefois, à se marier. Aujourd’hui, l’API incite à ne pas se marier. On disait à l’instant qu’il ne fallait pas que les voisins vous voient… sauf s’ils sont d’accord et qu’ils font la même chose ! Nous ne sommes pas en Suisse, où les fraudeurs se font dénoncer.
Je crois que cette destruction de la famille n’est pas un hasard, et qu’en réalité elle est voulue. Le socialisme a toujours été l’ennemi de la famille. Le fantasme des socialistes, c’est qu’il n’y ait plus qu’une famille, c’est-à-dire une tribu. La famille nucléaire est un obstacle entre l’individu et le tout social. Beaucoup de lois programment la disparition de la famille – progressive, pour ne pas que l’on s’en rende compte.
Autre conséquence : sur les enfants qui grandissent dans les familles ou père et mère vivent des minima sociaux. Se développe alors une culture de la paperasse, une culture de l’assistanat, on crée une sorte d’ « Untermensch », incapable de liberté et d’initiative.
Quant à la solidarité, dont on parle tant, il s’agit en réalité de vol de leurs biens à ceux qui travaillent ! "
Propos recueillis par Amédée Dubuis (Cri du Contribuables, 16/03/2010) -
Oriane Borja Untermensch (en français sous-homme) est un terme introduit par l'idéologie nazie par opposition au concept introduit par Friedrich Nietzsche d’Übermensch (en français surhomme).
Suivant en ceci les théories racialistes du xixe siècle qui interprétèrent la théorie de l'évolution de Charles Darwin comme une justification morale du principe de sélection naturelle, l’idéologie nazie considérait que les peuples germaniques — dits de Race aryenne — constituaient la race des seigneurs, tandis que tous les autres représentaient des races inférieures à des degrés divers. En particulier, les Juifs, les Slaves et les Tziganes étaient considérés comme des Untermenschen, ce qui leur valait, dans les camps de prisonniers, un traitement pire qu'aux autres ethnies ou nationalités.
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