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La privatisation de la chose publique

Ceux-là se rendent-ils compte des coups de poignard dans le dos de la républicaine, quand ces malversations se font au nom de l'Association "Républicaine" d'on ne sait quoi, que l'autre est président de la commission "déontologie" ou l'autre des "droits de la femme".

Les Français crèvent et eux se sucrent.

400 000 euros, c'est quatre de travail d'un smicard.

Vous me direz le micro parti de Marine Le Pen a gratté plusieurs millions des caisses de l'Etat sans le moindre état d'âme.

Je vous garantis que de l'autre côté de l'échelle, un euro de dépenses sociales, c'est un euro et que c'est délivré au compte goutte -quand c'est délivré malgré les droits- et ultra surveillé.

Même si certains politiques préfèrent mettre l'accent sur les quelques cas de fraude somme toute dérisoires non seulement par rapport aux droits sociaux non versés, mais encore par rapport à ce que les politiciens se mettent grassement et/ou indûment dans les poches alors que le politique ne devrait être qu'un sacrifice magnifique au service de la cité.

Le site révèle ce lundi une liste de 10 sénateurs UMP qui auraient perçu 400 000 euros fonds publics sur leur compte personnel. Ils doivent bientôt être auditionnés...
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