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Le lycée Montaigne ou l'éducation à grand coup d'extincteur dans la gueule

Si Montaigne préconisait l'éducation au violon parce que la musique adoucit sans doute les moeurs, c'est à l'autre violon qu'il faudrait mettre ce bon-père-de-famille en désaccord avec des gamins, il n'hésite pas à se servir d'un extincteur, non pas pour éteindre le feu, mais pour le mettre en l'employant comme un projectile directement dans la tête du gosse.

Il aurait pu le tuer sur le coup ou l'adolescent aurait pu rester handicapé, de toutes les violences, celles qui visent la tête sont les plus insupportables.
Nabilla paraît moins sauvage que ce père de bourges.

Certes, les lycéens sont manipulés, on ne revient pas là-dessus, il est facile de les prendre au piège de l'émotion et certains ont fait vocation de l'utilisation de la jeunesse pour s'en redonner une, ainsi qu'une virginité politique.

Mais en l'espèce qui est le plus dangereusement manipulé pour en arriver à une telle extrémité ?

Le gavroche qui fait les poubelles, ou le lecteur du Figaro, aficionados de l'hystérique Sophie de Menthon et de son "Ethic" patronal (qui n'hésite pas à justifier le travail des enfants rappelons-le toujours), et autres thatchero libero cons de Radio Courtisans ?


L'homme venu empêcher une nouvelle journée de blocage dans le lycée parisien s'est saisi d'un extincteur et a frappé au visage l’un des jeunes qui...
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