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Moins d'Etat engendre plus de violence

FRANCE3-REGIONS.FRANCETVINFO.FR
 

 

Il faut bien se dire qu'on n'empêchera jamais de tels actes de barbarie de se produire.
Il y aura toujours des malades et des assassins.
Celui-là ne devrait plus sortir et je pense que ce sera le cas.   

J'ai le même profil pas loin de chez moi, une famille qui vit de larcins, de menaces, d'aller-retour en prison, et pour les mineurs aussi de violences et de viols.

Mais un mineur de 13 ans violent et qui a commis un viol finit un jour ou l'autre par sortir.
Si on condamnait à de lourdes peines tous les violeurs, on n'aurait pas fini et il n'y aurait pas de hiérarchie des peines.

Les gens dont je parle et qui sont Français, sont très potentiellement susceptibles d'assassiner un jour une de leurs victimes.

Ils sont surveillés une fois sortis de prison ou de maison de redressement, mais on ne peut pas faire grand chose de plus.

Je pense que les parents auraient dû se voir refuser l'éducation de leurs enfants, mais là encore pas évident, tout enfant a besoin de sa mère notamment, la séparation peut entraîner d'autres troubles.

L'école aurait dû aussi être moins tolérante quand ils jouaient les caïds de bac à sable, préférant ignorer la violence sous prétexte de mieux les intégrer.

Pas simples à gérer ces horreurs.

De plus, on n'a parfois pas d'autre choix que de  laisser rnos enfants rentrer seuls .

Mes enfants sont toujours rentrés à pied, quand on les élève seul avec un seul petit salaire et que les transports coûteraient 10 % de ce salaire, ne parlons même pas d'une garde, pas d'autre choix.

Mes deux derniers ont d'ailleurs été suivis et violentés par ceux dont je parle, j'ai porté plainte, cela a eu pour conséquence de faire tomber un sursis qui pesait sur le père de ces enfants, qui m'a alors menacée de mort.

Mais la gendarmerie a veillé, en sillonnant le trajet notamment.
Ils se sont sentis épiés et n'ont pas recommencé, ils ont fini par déménager sous la pression.
Mais pour aller faire le mal ailleurs ...

On en revient toujours au même point, il ne faut surtout pas moins d'Etat.

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