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Des relations père-fille de Jean-Marie et Marine Le Pen

JMLP s'est toujours désintéressé de ses filles, il ne les a appréhendées qu'intéressé.

Père totalement absent sauf pour une communication à l'américaine du père de famille cliché, totalement surfaite, surjouée, de part et d'autre.
Il a surtout préféré sa gueule de politique à ses filles, ses cousines, ses voisines, et même préfèrera-t-il ses maîtresses à sa femme, à ses filles à ses cousines.

Il est en effet en réalité totalement absent de sa famille, ses enfants ne sont dans le décor que comme le sont ses chiens et sans doute accorde-t-il plus d'importance à ses chiens.

Les filles Le Pen n'ont reçu aucune éducation, de nounous en laxisme, elles sont surtout bientôt livrées à elles-mêmes.
Personne ne les a aimées suffisamment pour leur donner des règles, un cadre, une direction, elles ont eu une éducation de hippie, de parents drogués de la politique, irresponsables vis-à-vis de leurs enfants.

Marine s'est trouvée totalement abandonnée à l'âge de 14 ans, sa mère partie sans laisser d'adresse, son père dont l'adresse paternelle était surtout celle des abonnés absents.

Marine s'est ainsi mise à suivre son père pour survivre à sa solitude, il n'y avait pas d'autre issue de secours.

Elle courra toujours après son père sans jamais vraisemblablement l'atteindre.

Pour JMLP qui n'a jamais considéré ses filles que comme des faire-valoir, comme ses femmes d'ailleurs, il n'est même pas pensable qu'elles aient une vie politique.
Marine ne va servir qu'à prolonger la sienne.

JMLP ne sait pas être père, sans doute lui-même n'a que peu profité du sien, souvent en mer puis disparu en mer définitivement.

Il ne sait être ni père, ni homme, mal à l'aise dans les deux rôles.

Ses relations sont étranges, presque malsaines, toujours dans le tactile.
JMLP ne sait parler aux femmes qu'en les touchant, il est assis à côté de vous, qu'il vous touche la cuisse, ce qui est franchement désagréable.
Il vous prend pour un objet qui forcément ne saurait le voir que comme une personne qui vous accorderait quelques faveurs par charité.

Effusion de sang, effusion d'embrassades, tout dépend du camp où le grand chef vous situe. Dans les deux cas, la violence est palpable, la mise en scène, dramatique, avant de virer au tragique.

Il aime les gens qui lui lèchent les bottes, il croit toute sa cour totalement acquise et dévote à sa personne, l’allégeance doit être effective.

Et refuse tant qu'il en soit autrement que la moindre critique véritable entraîne une répudiation.
Ose-t-on ne pas voir en lui autre chose qu'un demi-dieu investi d'une mission céleste !
Ce que Marine n'est pas loin de croire non plus pour sa propre personne.

Il est vrai qu'ils ont dû se demander un jour pourquoi cela leur était tombé dessus, comme le saint Ciel sur la tête, ne voyant jamais et niant la façon dont ils sont utilisés, manœuvrés politiquement.

Chez Zeus, la colère, c'est la foudre, chez Cronos, on bouffe ses enfants, et même Hercule doit faire ses preuves pour atteindre l'Olympe ... Le Pen, Marion se prend elle aussi pour une déesse enfantant donc un demi-dieu.

En ce moment, Le Pen-Poséidon déchaîne sa colère sur Marine-Ulysse, la condamnant à ne pouvoir jamais rentrer chez elle pour l'avoir défié.
Elle a vaincu le cyclope, reste encore le passage initiatique entre Charybde et Scylla pour finir de ruiner tout l'équipage.

Bah, elle finira peut-être sous son ardoise fine, vivre entre ses enfants le reste de son âge.
Bon, ses enfants ne savent pas non plus ce que sont père et mère, le voyage au royaume d’Hadès risque de durer un peu éternellement.

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