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Merci mon pays

Et dire que le père de mes enfants ne voulait pas que j'arrête de travailler pour m'occuper de mon fils malade, et a commencé à en faire un casus belli (mais je suis habituée à la guerre permanente et sais heureusement remporter les batailles) -dans le genre encore et toujours à côté de la plaque et dans l'incapacité de comprendre tout ce qu' implique d'élever quatre enfants seule déjà et avec sa seule force de travail, a fortiori quand le handicap vient se mêler de la partie-, mes journées et mes nuits sont surbookées rien qu'à gérer la maladie, pour ne rien dire du côté psychologique, je dois à nouveau et toujours remercier le Ciel de vivre sous les bons auspices d'un pays où l'Etat sait comprendre et aider ceux de son peuple quand ils en ont vraiment besoin.

Lien permanent Catégories : Brèves

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