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La Bataille de l'Oikouménê ou comment Valls, Hollande et autres Sarkozy n'ont même pas la taille d'un Nain

Le terrorisme ne s'arrêtera jamais tant que les gouvernements se mêleront d'intervenir dans des conflits où la religion sert de prétextes à des groupes maffieux pour prendre le pouvoir que ce soit dans un sens comme dans un autre.
Les gouvernements ayant tendance à s'aligner sur ceux de ces groupes qui permettent aux multinationales s’appliquant à exploiter les matières premières, d'en tirer profit. Etant entendu qu'ils nous ont rendus dépendants d'intérêts financiers privés.

D'autant que depuis la crise, les portions de manne pour graisser les pattes sont sans doute plus étroitement considérées, les courbes du profit maximum et des demandeurs de patentes extra conventionnelles s'étant sans doute envolée en toute mauvaise logique, et c'est sans doute la seconde sur laquelle on a rogné et qui a fait apparaître des tensions qui ne peuvent apparaître au grand jour que sous des prétextes et c'est là que la religion entre en ligne de compte.

La solution serait que les richesses de ces pays soient sous contrôle des peuples via des Etats non corrompus, et que les Etats bénéficiant de ces ressources, s'appliquent à avoir des échanges d'égal à égal avec ceux qui les possèdent.
Autant dire que la paix n'est pas pour demain, surtout maintenant que le terrorisme a atteint sa dimension planétaire, avec la libre circulation des biens et des hommes.
N'importe quel petit groupe peut envoyer n'importe qui n'importe où pour n'importe quel motif, et en l'occurrence, les provocations de Charlie Hebdo sont pour eux du pain béni.

La guerre n'est pas un conflit de civilisation, elle est une guerre du contrôle des ressources qui sera éternellement alimentée par les groupes privés qui en tirent profit.

La civilisation étant une suite, une série de fonctions, mathématique dont la limite est celle que l'homme est capable de lui donner.

En fonction du temps et des guerres, et donc des moments de paix dans leur histoire, la civilisation peut avancer, ou reculer.
Plus la barbarie s'installe plus la civilisation s’affaiblit, et réciproquement.
La civilisation se bâtissant en remettant en cause sans cesse tout ce qui tend vers la barbarie en affinant ses institutions et son droit afin de la juguler toujours plus.

Et là encore, la civilisation est affaire de la Cité, elle s'ancre dans un territoire, elle n'a rien de hors-sol et rien de privé, toute société est une affaire publique et d'intérêt général, ce sont toujours les velléités privées, les petits intérêts individualistes qui viendront gangrener les processus.

La guerre est perpétuelle comme l'homme devra toujours faire face à ses propres démons, ceux qui l'attireront toujours plus facilement vers son nombril plutôt que vers le bien commun.

La limite, c'est l'homme, mais l'homme peut tendre vers l'infini.

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