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La petite mort du compagnon de Florian Philippot

Monsieur le compagnon de Florian Philippot : il n'y a pas mort d'homme à être du Front National, ni honte, pas plus que d'être homosexuel !

 

Chaque jour, des milliers d'hommes se reconnaissent comme frontistes, dont des femmes isolées, dont des personnes âgées, dont des gens donc, absolument comme tout le monde.

 

Certains pour de bonnes, d'autres pour de mauvaises raisons.

 

A priori, le Front n'est là que pour la France, pour recouvrer nos attributs qui permettent notre raison d'être : le pays qui s'érige contre la barbarie.

 

Evidemment, certains mésinterprêtent l'essence et la finalité de la France, ils sont stupides, manipulés, ou malhonnêtes et mauvais, mais doit-on les mettre tous dans le même panier de crabes ?

 

Vous arriveriez à aimer un homme qui serait un tel salaud qu'il aurait accepté de devenir le vice-président d'un tel ramassis d'ordures ?

 

Soit votre ami n'est pas celui-là, et vous n'avez à craindre de rien ni de personne, soit ce que vos confrères estiment est vrai et vous êtes donc une vraie salope.

 

Vous nous traitez comme si le soupçon que vous puissiez en être, non pas homosexuel mais frontiste, serait la pire des infamies et des catastrophes.

 

 

Si les vôtres, journalistes, vous condamnent à mort médiatique pour cela, d'après ce que vous en dites, c'est peut-être qu'ils ne valent pas grand chose et qu'il vaut mieux pour vous qu'ils vous achèvent afin que vous puissiez devenir libre.

Pauvre mec ...



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