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Au sujet de la violence, remarque envoyée à Laurent O.

L’immigration n’est qu’un des paramètres de la montée de la violence.

Il serait absolument stupide de se focaliser sur un élément, d’autant que c’est bien l’intention de notre ennemi de nous diriger vers le choc des civilisations.

L’immigrationnisme est un mondialisme parmi d’autres.

Les autres éléments sont :

- en tout premier lieu, la séparation de plus en plus précoce et à grande échelle de l’enfant de sa mère.
Il est évident que les liens se desserrent, le petit d’homme est plongé très rapidement dans le détachement.
L’éducation qui s’en suit est des plus chaotiques, l’éducateur de tutelle ne peut se permettre l’autorité nécessaire, le parent délègue une responsabilité que personne ne peut reprendre à son compte.
L’enfant apprend très vite  à s’engouffrer dans les failles à son profit de petit tyran en roue libre.

- l’école ensuite, elle ne sait plus punir, face aux comportements déviants, soit elle n’intervient pas, soit elle lance un débat qui renforce l’impunité et la violence.
Elle n’instruit plus et ne permet donc plus la structuration du cerveau.
Elle ne génère plus que des petits perroquets plus ou moins bons comédiens, prêts à resservir le discours attendu, renforçant la fourberie, la malhonnêteté.
Le principe de l’enfant au centre des savoirs le brosse dans tous ses vices, tous les instincts de l’enfant sont mis en valeur, favorisant son arrogance et sa toute puissance.

De ces deux premiers états de fait, il ressort que l’enfant grandit en intégrant son environnement comme la loi de la jungle, son incapacité de réflexion, le condamne à s’écraser et/ou à écraser l’autre.

- S’ajoutent à ces prémices, une quasi impossible entrée dans le monde adulte du fait du chômage de masse, même avec la meilleure volonté du monde, l’avenir reste sombre, ceux qui pensent que l’on peut encore aujourd’hui gagner sa vie en se sortant les doigts, retardent d’une guerre.
Et quand, le jeune intègre le monde du travail, il comprend vite que le but du jeu, est la concurrence féroce entre chacun.

- Le rôle de l’immigration est de permettre une variable d’ajustement  favorisant l’insécurité économique pour le plus grand profit de ceux qui en tirent profit.
Il est également facteur d’insécurité affective, on déracine les hommes, mais cependant on le conforte, et c’est très vicieux, dans son communautarisme : son particularisme et ses modes de vie différents des cellules souches sont favorisées, permettant que la greffe ne prenne jamais, instillant un virus des plus déstabilisateurs dans la société.
En cas de besoin, il ne suffira que d’allumer la mèche pour susciter l’embrasement.

Par bêtise, VOUS mettez le feu aux poudres.

Mais en deux trois tours de vos centres d’intérêts, je perçois que des pans entiers de discernement, en particulier au niveau géopolitique, vous manque. Vous avez des qualités, mais pas celles qui sont essentielles : vous vous perdez dans les conséquences quand les causes vous dépassent.

Ce sont les mêmes qui ont mis en place les politiques éducatives dans notre pays, que les programmes scolaires, que la politique économique, que les politiques migratoires, que les politiques judiciaires, etc., etc., ce sont les organisations économiques et financières internationales aux ordres de quelques multinationales qu’il faut viser.
En agissant comme vous le faites, vous jouez parfaitement le rôle de pion qu’elles vous réservent, et sans qu’elles aient même besoin de lever le petit doigt, les pions sont quasiment autoprogrammés.

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