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pressions

  • Comment j'ai été la première à révéler que le père de Marion Maréchal le Pen était un agent de la CIA

    Tort d'avoir trop raison

    Le député Marion Maréchal Le Pen et sa tante Marine Le Pen n'ont pas hésité à attaquer une mère de famille nombreuse monoparentale isolée dont les revenus très modestes et situation familiale sont attestés par le dernier document ci-dessous, en lui demandant des sommes exorbitantes au regard de sa situation et pour avoir osé révéler à ses amis Facebook, une vérité qui dérange.

    Grâce à la diligence de Marine, j'ai donc un constat d'huissier qui permet de dire que j'ai été la première à révéler l'appartenance du père du député aux réseaux atlantistes et à la CIA.

    Chose qu'il révélait il y a quelques mois dans un ouvrage posthume, ainsi que la façon dont il avait été le parrain politique de Marion Maréchal Le Pen, chose que j'avais également bien repérée.
    Il dénonce également l'extrême-droitisme de sa fille, on ne le lui fait pas dire, j'ai également été une des premières à le définir, tout en nommant et dénonçant ses réseaux.

     

    Je laisse chacun apprécier de ces méthodes et tenter de comprendre une des raisons pour lesquelles la famille Le Pen a essayé de faire pression sur moi sous prétexte d'atteinte à la vie privée en profitant de cette opportunité juridique.

    Dans cette affaire, je n'ai eu aucun soutien, seulement des critiques virulentes, des injures, on m'a traitée de folle, de droguée, de mythomane.

    Je n'ai jamais donné le nom du père, simplement des indices, et j'ai simplement dit qu'il ne s'agissait pas de Samuel Maréchal pour l'affranchir d'une telle accusation.
    Ce qui ne portait aucun préjudice puisque tout le monde savait que Samuel l'avait adoptée quand elle avait deux ans, sans compter que mon journal FB qui a été dûment fouillé par la famille le Pen (les actes d'huissier faisant là encore foi, je ne peux pas ici poster tout le dossier), était privé.

    Il faut par ailleurs noter que les militants se sont rués dans les brancards contre moi pour avoir osé dire de tels blasphèmes, mais qu'une fois d'information révélée par le père même de Marion, ils n'ont eu aucune réaction, on peut être la fille d'un journaliste agent de la CIA et du Mossad, un branquignole mercenaire de première, avoir parrainé l'action politique de cette même fille, le "patriote" n'y voit aucun début de commencement de problème; c'est celui qui pose le fait qui est problématique, c'est donc bien qu'il y a un malaise, mais on est dans le déni.

    Ils ont voulu me discréditer aux yeux de tous, passer en Une de tous les journaux de ma région notamment, pour atteinte à la vie privée alors que mon travail nécessite une confiance absolue, n'aurait pas été chose simple si je n'avais eu le soutien des personnes qui me connaissaient bien dans mon travail et qui m'accordaient toute leur confiance.
    Le résultat a par ailleurs plutôt eu l'effet inverse.

     

    Ils ont été déboutés de leur action et condamnés en retour.

    Photo de Oriane Borja.
    Photo de Oriane Borja.
    Photo de Oriane Borja.
    Photo de Oriane Borja.
    Photo de Oriane Borja.

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