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Pourquoi je choisis Marine sans l'ombre d'une hésitation

Militante frontiste sans interruption depuis mes années lycée il y a vingt cinq ans, et candidate à toutes les élections depuis qu’on m’a autorisée à l’être, je souhaite que l’héritière désignée par les adhérents, de JMLP, soit Marine Le Pen.
Fière d’avoir été mise sur les rails politiques via le chemin que nous a tracé notre président, cela fait longtemps que je souhaite en secret que Marine reprenne le flambeau.

L’entière confiance que je lui accorde s’est renforcée au cours des années durant lesquelles on l’a vue mettre ses compétences au service de notre cause avec un brio inégalé.

Outre les affinités que je peux avoir naturellement avec elle, elle est jeune, femme, mère, combative, les raisons de mon choix sont toutes politiques.



1) Les équipes

Bruno Gollnisch souhaite mettre en place le rassemblement groupusculaire qu' il se targue de pouvoir initier.
Je m’oppose formellement à une telle initiative.
Rassembler le ban et l’arrière-garde de groupuscules qu’ils soient d’extrême-droite, de droite voire de gauche chevènementiste ou autres socialisme de droite, constituerait une hydre dont on ne sait par définition combien elle aurait de têtes, et dont, quoi qu’il arrive il ne serait fait qu’une bouchée.
Il n’est pas secret pour quelques uns que, d’un tel attelage, beaucoup se verraient bien la mouche du coche.

Faire des calculs d’apothicaire sur la possible victoire d’un tel harnachement relève du plus grand amateurisme, si chacun vaut + 1, l’effet répulsif vaut - 9 à chaque addition, je vous laisse augurer du résultat négatif.
Outre le calcul perdant, quel message offrons-nous à notre électorat dont je rappelle qu’il ne consiste pas en un conglomérat de purs et durs, mais de français souvent d’origine modeste qui n’ont plus que nous pour seul espoir.
Nous n’avons pas le droit de faire cela à notre peuple, nous devons être tout au contraire les responsables qui se donnent comme devoir de ne se mettre qu’à son seul service, parce qu’il est le peuple de France, et que la France est l’objet de notre unique ambition.
Quel message brouillé cela donnerait-il quand au sein même du Front, nous n’avons eu de cesse de dire, à raison, que nous n’étions pas l’extrême-droite et que nous ne saurions nous confondre avec aucune raison politique somme toute assez mondialo compatible et dont les dirigeants ont toujours fait appel à ne pas voter pour le Front national quand ils ne présentaient pas des listes dans l’unique but de nous nuire.
Devrions-nous prendre les bâtons qu’ils nous ont mis dans les roues pour nous faire battre ?

Marine bien au contraire, appelle au rassemblement de tous les français quels qu’ils soient, le seul mot d’ordre s’appelle France, nous l’appellerons toujours France.

2) Les priorités de chacun

Bruno Gollnisch a fait ces dernières années de la Liberté d’expression un de ses chevaux de bataille.
Il a raison, mais hélas, quelle est la prorité ?
Que vaut la liberté d’expression sans la capacité de réflexion perdue dans nos écoles aux méthodes mondialistes?
Et trop focaliser son attention sur ce sujet si préoccupant soit-il, est-il judicieux ?
Que vaut-il dans l’urgence d' un monde qui s’écroule, quand nos compatriotes ne trouvent plus de travail ou si peu et si mal payé quand la vie devient toujours plus chère.
Il en va pour certains de seulement pouvoir vivre, ils sont notre priorité des priorités, savoir et voir les plus faibles d’entre nous être sacrifiés sur l’autel du mondialisme, suscite la colère qui chauffe nos épées, qu’on touche à un seul Français dans sa dignité de pouvoir vivre de son travail et le Front monte au créneau.

Le social, c’est le Front national, la démocratie, c’est le gouvernement pour et par le peuple qui l' exerce par ses représentants dans notre république française.
Notre peuple est notre seul guide, il est le peuple de France, et la France est le merveilleux trésor que nous nous devons de protéger à son entier et unique service.

C’est ainsi que Marine a su mettre en exergue la plus haute attention que nous devions porter sur la protection des services publics, ils sont notre bien commun dans notre lien commun qu’est la Nation.
Tous les outils que nous a laissé notre histoire doivent être préservés quand l’intérêt de notre peuple nous le dicte.
Je crains que l’entourage extérieur au Front mais favorable à Gollnisch n’encourage une vision «lobbyiste» de la politique.
Et là encore Marine a su voire les risques, avec sa vision de la laïcité, elle forge une protection contre toutes formes de pressions quelles soient d’origines religieuses, sociétales, économiques, etc.

4) La personnalité

Oserions-nous dire que la providence ne joue pas un rôle dans nos cœurs ?
Notre mythologie dont on sait qu’elle forme l’âme des nations, ne nous a-t-elle pas laissé croire en l’homme providentiel ? Et quand les temps vont mal, n’est-ce pas l’objet de tous nos espoirs ?

Marine est jeune, mais à cet élan, elle ajoute celui d’une grande expérience à son arc.
Elle sait ce qu’est la vie, elle a pris tous les coups, toutes les douleurs et Dieu sait que sa pudeur ne les avoue pas toutes.
Bruno est intelligent, mais Marine y surajoute d’être brillante, elle voit juste, elle a ça dans le sang serions-nous tentés de dire.

Enfin, Marine n’est-elle pas une évidence pour nous et au-delà.
Elle est belle dans toute sa profondeur et cela se voit, mon dieu, comme dirait notre Pagnol de façon bienveillante, elle n’a pas la pâle figure d’un antialcoolique, et au pays du pinard et du saucisson, cela doit bien avoir sa petite importance.
Au-delà de la note plaisante, Marine a la note si juste, elle a l’oreille politique absolue, laissons-lui dérouler la partition entant que chef d’orchestre, oui elle saura utiliser sa baguette de magicienne, et il le faut, c’est une nécessité, nous ne pouvons nous permettre un accord sans diapason.
Chacun sa partition, chacun son instrument, mais nous jouons le même répertoire et Marine mène le combat, la danse sera celle des sabres, exaltante mais exigeante.
Si l’aventure vous tente, sachez que ce sera la dernière chevauchée, il est impératif de vaincre, l’ennemi est clairement le mondialisme, pour la France et les nations qui ne sont-elles-mêmes, que le visage de notre humanité.

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